One Piece Reign
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Cormak Amnell

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Message par Cormak Amnell Lun 15 Fév - 21:51

~°Marine°~

~°Présentation du Joueur°~

Prénom: Jet (surnom)
Age: Dix sept ans
Ce que vous aimez: Les amis, les filles, les soirées, le cinéma, les filles, les scénarios bien ficelés, le tennis, les filles.
Ce que vous n'aimez pas : Les gens stupides (ou limités), la télé réalité, le ski, les énigmes mal ficelées,
Première Impression:Bonne, un forum qui a l’air intéressant.
Autres : Le faible nombre de marines facilite la montée hiérarchique j’espère.
Comment avez vous connu ce forum ? : Via le forum Ops

~°Présentation du Personnage°~

NomAmnell
Prénom: Cormak
Surnom: Blitz (il aime), le Double (il n’en a cure), Coco (il n’aime pas).
Age:21
Sexe : Masculin
Race : Humain
Est-il existant ou inventé ? Purement inventé.
Description Psychologique (5 lignes minimum):
Réservé et souvent distant, Cormak est le triste résultat d’une enfance trop vite gâchée. Son air méfiant et son absence de sentiments apparents peuvent pousser ses frères d’armes à le repousser, ce qui fut le cas lors de son admission à la marine. Ne cherchant pas à se lier réellement avec d’autres individus, il a donc une tendance évidente à la solitude.

Après une phase de jugement de ce personnage sévère, on peut cependant constater qu’il n’est pas dénué d’émotions, et que ce masque trop rarement fissuré cache une personnalité forte et complexe.

A l’intérieur de sa petite tête, tout est différent. Son attitude peu engageante est en effet une façon de tester et d’appréhender les évènements extérieurs. Cormak déteste l’inconnu. Son besoin de trouver des réponses est aussi ardent que son regard peut être glacial. Sa seule manière d’assouvir ses désirs de connaissance sans se livrer à ses éphémères compagnons est donc d’user de ruse, de manipulation et d’influence afin d’emmagasiner le maximum d’informations.
Dissimulant le mieux possible ses buts, ses aspirations et ses motivations, il ne peut toutefois pas conserver tous ses souvenirs et ses histoires dans sa mémoire, et il lui arrive rarement de se livrer à ses camarades, regrettant son geste par la suite.

Ce silence forcé a un effet néfaste et irrémédiable, il lui arrive d’imploser et de devenir incontrôlable. Son supérieur a ainsi dû faire face à une attaque directe lors d’une entrevue un peu trop éprouvante. Ces accès de folie peuvent choquer mais son dirigeant sélectionne avec soin les tempéraments forts, et ces crises de démence ne l’ont pas dérangé. « Si ces crises sont le prix à payer pour l’obtention d’un pouvoir bien plus grand, exprime donc ta rage ! »

Si Cormak fait partie de la Marine, il n’en est pas moins certain qu’il a sa propre idée de la justice. Ainsi, sans pouvoir désobéir directement à son supérieur, il lui arrive fréquemment d’agir selon ses propres notions d'honneur, qu’elles soient légales ou pas. S’il ne défend pas avec ferveur la veuve et l’orphelin, il lui arrive de ne pas vouloir endommager certains lieux, ou au contraire d’infliger une sentence plus lourde que nécessaire à des hommes qu’il juge cruels. Il n’a aucune foi en l’homme et son malin plaisir est de se prouver que chaque individu peut être mauvais si on le lui permet. La notion d’amitié le dépasse donc pour le moment.

Pour résumer, Cormak est un véritable mur, se muant dans le silence ou dans des discours froids et formels afin de mieux analyser les situations et les actes qui en découlent. Il peut ainsi compter sur une capacité de déduction et d’analyse supérieure. Revers de la médaille, son comportement peut parfois basculer dans une certaine schizophrénie, relâchant alors sa tension permanente sur ses malheureux adversaires.
Son idée de la justice et sa tendance à appliquer secrètement ses propres lois poussent à se demander quelle a bien pu être la raison de son adhésion à l’armée.

Description Physique ( 5 lignes minimum ):
Blitz, comme il aime se faire appeler, a la chance d’être un homme de belle taille atteignant le mètre quatre-vingt cinq et bien bâti. S’il a eu des problèmes de poids les premières années de sa vie, un entraînement régulier a remplacé ce surplus par des muscles tracés et une volonté de fer.

Ses cheveux mi-longs châtains virant sur le rouge, rappellent le cuivre.
Son visage fin et élancé pourrait paraître beau si son regard dur et froid ne lui donnaient pas un air si cruel.
Une partie de son bras gauche est constamment recouverte de bandes, dissimulant une marque qu’il désire garder secrète, et une large balafre lui zèbre une partie du dos.

Il porte également une bague au majeur gauche ornée de runes étranges, vestiges d’une civilisation sûrement éteinte.
Il fait souvent preuve d'une rapidité impressionnante, et son grade paraît un tantinet léger face à son potentiel et son obstination à augmenter en puissance.

S’il arbore une épée qu’il garde en permanence, il préfère néanmoins se battre à mains nues et ne se sert de son arme que pour améliorer sa portée et contrer les sabreurs adverses.
Cormak est généralement vêtu d'une tunique bleutée lui tombant jusqu’aux genoux, d'un solide pantalon et de bottes légères qui lui assurent une mobilité conséquente. Son arsenal est conçu pour lui assurer un confort quels que soient les mouvements exécutés. Il lui a rarement fait défaut jusqu’à présent.



Pouvoir/capacité :
Un épéiste qui aime néanmoins combattre avec son corps prend plus de risques pendant ses « crises » mais est aussi plus vif et véloce.

Grade : Lieutenant

Nom de votre supérieure :Monkey D.Garp

Fonction au sein de l'équipage :Combattant/Sabreur, Timonier.

Histoire ( 30 lignes minimum ):
« La seule justice en ce monde doit se trouver au fond de ton cœur ».
Son unique base, les dernières phrases de son patriarche.

Cormak est né à Caldea, un village de West Blue. Une bourgade ou celui-ci avait la chance d’être entouré un temps de ses deux parents, vivant dans une certaine opulence.
Ses six premières années furent donc sans doute les meilleurs moments de sa vie. Avant que tout ne bascule. Complètement.
Si sa mère n’avait jamais voulu lui rappeler les détails, il se souvenait vaguement d’un homme venu voir son père. Un homme qui en quelques minutes à peine avait réussi à le convaincre de tout abandonner pour revenir dans la piraterie. Pourtant il avait promis. *Il avait promis de rester pour toujours !*

« Papa ! Pourquoi Papa ?! » Des larmes coulaient sur le visage du jeune garçon.
« - La seule justice en ce monde doit se trouver au fond de ton cœur.
Adieu mon fils.

-Papa ! Papa !!!!!
»


Et il était parti, sans se retourner, le visage plongeant vers le sol, laissant une mère enceinte et un fils aimé dans la détresse et les pleurs. Ses seuls souvenirs demeuraient ainsi dans cette phrase mystérieuse et dans la bague que celui-ci lui avait offert un an plus tôt.

Cormak en avait été bouleversé. Son rythme de vie aussi. Son père était le seul revenu de la famille, et la grossesse de sa mère ne lui permettait pas d’espérer travailler durement.
La jolie maison familiale laissa donc rapidement sa place à un abri sommaire dans les ruelles mal famées de la ville. Là-bas il était souvent battu par les gamins des rues, voyant en lui un éternel bourgeois. Et les mois étaient passés, accueillant sa petite sœur Hélène. Un nouveau but se présentait alors petit à petit à lui. Il devait assurer la condition de sa famille, il devait les protéger. La santé de sa mère s’aggravait de jour en jour, il devait travailler.

Pendant près de huit ans il trima, ne dormant presque pas, s’endurcissant jour après jour afin de sauver les femmes de sa vie. Son regard encore naïf laissait voir une certaine maturité pour son jeune âge, et il repoussait à présent sans peine ses détracteurs grâce à sa technique singulière.

Et un petit matin de mai, alors qu’il revenait du chantier après un dur labeur, tout bascula à nouveau.
Rentrant dans le petite cabane qu’il avait construite quelques mois plus tôt, notre jeune homme de quatorze ans vit sur le sentier quatre hommes encapuchonnés arriver.
Sa mère lui ordonna de quitter la demeure pour se réfugier avec sa sœur dans la forêt. Mais il ne pouvait pas la laisser. Il se cacha donc avec Hélène derrière la fenêtre, demeurant presque invisibles dans les fourrés. Le chef supposé s’adressa alors à sa mère :
« Où est-elle, femme ?
-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, monsieur. »

Il la gifla si fort qu’elle en tomba à la renverse. Cormak planta ses ongles dans le bois avec tellement de force qu’il en saigna. Il ne pouvait intervenir. Hélène serait découverte et sa mère n’en serait pas plus aidée. Il plaqua la main sur la bouche de sa sœur pour l’empêcher de crier, et écouta :
« Je repose ma question, Où est la clé ? Réponds Séléna !
-Cette voix, tu…, comment as-tu osé les trahir ? Tu traînes à présent avec ces monstres prêts à tout pour…
-Silence ! coupa l’homme. Hector l’a laissée ici. C’est certain. Tu veux donc mourir ? Où sont tes enfants dis moi ? Tu aimerais les voir souffrir sous tes yeux ? Cela te délierait peut-être la langue. »

Un coup de poing vint ponctuer ses phrases.
Cormak fut alors tétanisé. Il devait fuir. Il aurait dû fuir dès le début, au lieu de laisser sa curiosité malsaine prendre le dessus. A présent il était piégé. Il ne pouvait bouger sans se faire repérer dans la seconde. Et il n’espérait pas semer tous ses poursuivants avec Hélène sur le dos. Que faire ?
L’homme reprit :
« Bien, chienne. Je vais te le demander une dernière fois. Où est la clé ? Nous n’avons pas besoin de toi, nous la trouverons de toute façon. Tu le sais bien. Alors sois raisonnable et tes sales petits louveteaux seront peut être épargnés.
- Mes petits valent bien plus que tous vos soudards réunis ! Ils ont fait preuve de plus de courage que jamais vous n’en posséderiez ! Sache que tu ne les auras pas, et tant qu’ils seront debout ils se dresseront contre toi. Tu perdras ! Tu le sais bien, en t’alliant à eux tu as creusé ta propre tombe ! Jamais tu ne trouveras la clé, jamais ! Je te maudis, toi et les tiens ! puissiez vous ne jamais trouver le repos !
- Eh bien voilà donc les dernières paroles d’une vieille folle. Très bien, puisque tu le désires, ta misérable existence va prendre fin aujourd’hui. »


L’individu encapuchonné sortit son épée lentement. Avec une certaine grâce, il la fit tournoyer lentement dans ses mains. Puis, toujours avec harmonie, comme un chef d’orchestre dirigeant son assemblée, il pointa la lame en avant, traversant avec une facilité déconcertante l’abdomen de sa victime.
Cormak lâcha sa sœur, et écarquilla les yeux. Une multitude d’images lui revenaient. Ses parents ensemble le bordant avec amour. Son père lui offrant une bague à ses cinq ans, lui transmettant un héritage familial. La naissance de sa sœur, la première quinte de toux sanglante de sa mère. Sa conscience s’égara, et il lui sembla que le monde autour de lui ralentissait. Toute la beauté des arbres disparaissait. L’odeur des pins ne lui parvenait plus, l’herbe se muait en ténèbres. Alors une seule vision demeura, cet homme, une épée pointée en avant. Cet homme qui ne méritait plus de vivre après ce qu’il venait de faire.
« La seule justice en ce monde doit se trouver au fond de ton cœur ».
Aujourd’hui la justice réclamait du sang, et il n’allait pas la laisser attendre longtemps.

Dans un cri de guerre, Cormak Amnell se leva, et fondit sur son adversaire. Celui-ci, surprit n’eut pas le temps de ressortir l’arme du corps tremblant de sa victime.
Il para donc le coup de couteau que son jeune vis-à-vis lui assénait avec sa main gauche. La lame entailla profondément la chair, et un hurlement sortit du capuchon sombre.
Il lâcha son arme, repoussa le jeune garçon au fond de la pièce d’un coup de pied, et pressa sa main droite contre sa voisine afin de calmer la douleur. Les trois autres individus se précipitèrent pour punir l’enfant. Un « stop ! » de leur chef les arrêta :
« Attendez, leur dit-il. Je vois que ces sales gamins sont ici. C’est parfait. Selena, tu es condamnée à présent. Mais avant que tu ne meures, regarde ! Admire la façon dont je vais prendre la vie de tes enfants ! »

La femme poussa un cri rauque, malheureux, et Cormak sentit toute la tristesse du monde s’emparer de sa mère. Dans un effort désespéré, le jeune homme bondit vers sa mère. Elle ne pouvait pas le quitter. Pas maintenant. Il toucha sa tunique imbibée de sang et déclara en larmes :
« Maman, pas toi maman ! S’il... s'il te plaît maman, j’ai peur !
- C… calme toi, haleta-t-elle. Cormak, mon amour, tu as tant de choses… à faire, tu ne peux mourir… ici. Tu seras un homme bon,tu… tu… ton père et moi nous serons fiers de toi, où que nous soyons. N’a.. n’abandonne jamais mon fils. Prends toujours soin d'Hélène.»

A cet instant, un éclair passa dans les yeux du jeune garçon, suivi d’une douleur sans nom. Il tomba en avant sur le sol nu et cria de toutes ses forces. Une entaille longue de plus d’un demi mètre lui zébrait le dos. Son malfaiteur ricana.
La vision du petit homme se brouilla, il ne pouvait plus bouger. Dans un effort surhumain il se mit sur le dos, celui-ci brûlant comme un brasier.
Il vit alors sa mère se jeter sur lui avant qu’une lame ne rentre dans sa chair. Elle encaissa le coup de plein fouet, et roula sur le sol, ne bougeant plus.

Les pleurs et les cris de Cormak se muèrent en gémissements, il ne comprenait pas, son monde fragile se désagrégeait devant ses yeux embués.
Il ne perçut que quelques paroles :
« On le finit chef ?
- Non, laissez-le. S’il survit à cette blessure, il passera une vie misérable pire que la mort.
- Et la fille ?
- Hum… prenez-la. On pourra se servir d’elle plus tard. »

Ne pouvant plus tenir sous le coup de la douleur, Cormak perdit alors connaissance, plongeant dans la frontière étroite entre la vie et la mort.

Il se réveilla dans le lit du médecin du village qui avait apparemment daigné le soigner. Il apprit ainsi qu’il avait dormi sept jours, que ses agresseurs s’étaient enfuis et que sa mère avait été inhumée deux jours auparavant. Sans but, sans famille, seul et miséricordieux, il voulut mettre fin à ses jours.
« S’il survit à cette blessure, il passera une vie misérable pire que la mort. »
Cet homme avait raison. Blessé dans sa chair et meurtri dans son âme, Cormak n’avait plus de raison de rester sur cette terre. Il allait sauter de la falaise de son village quand une pensée l’en empêcha. Hélène. Sa sœur ne méritait pas de mourir. Son sourire, sa joie de vivre, elle était tout ce qui lui restait. Allait-il la laisser aux mains de ces assassins ? Non, il devait la retrouver. Mais comment faire ? A son âge, il ne pouvait rien faire. Il devait devenir plus fort. Plus fort que ces hommes. Plus fort que quiconque mettrait sa famille en danger. Et son père. Où pouvait-il bien être ?

*Papa, tu devras répondre de tes actes. Maman, Hélène… En partant , tu nous as tous condamnés.*

Il continua alors pendant près de quatre ans son métier de maçon au village. Chaque jour il s’endurcissait et chaque jour son cœur se fermait un peu plus. A l’âge de dix-huit ans, il décida qu’il était temps. Il était temps de partir. De fondre sur le monde comme un éclair. Blitz ramassa donc ses affaires, alla dire au revoir à sa mère au cimetière, et s’en alla.
Il le savait à présent. Il ne serait pas pirate comme son père. Pas si tôt en tout cas. Il devait trouver une grande institution. Un endroit où des hommes ambitieux pouvaient grimper rapidement en puissance. Un endroit où il pourrait se renseigner sur les quatre mystérieux hommes, où il pourrait les traquer.
Cet endroit avait un nom. En un autre petit matin de mai, il poussa la porte d’un siège dominé par un drapeau représentant une sorte de mouette. La marine venait d’obtenir une nouvelle recrue.

Suite à son travail acharné, on parla rapidement de lui, jusqu’à finir par être remarqué par le vice amiral Onigumo.
Celui-ci, un homme dur, sévère et pointilleux sur le règlement, put voir le potentiel que Cormak abritait. Il décida ainsi de l’intégrer à son équipage et de superviser sa formation. Le nommant Coco pour l’agacer, il dut faire face aux crises meurtrières de son apprenti, ce qui ne le gêna nullement. Ne cherchant pas à creuser dans son passé, le gradé éleva notre jeune homme au rang de lieutenant en moins de trois ans.
Méprisant et admirant à la fois son instructeur, Cormak savait que les idéologies de la marine ne correspondaient souvent pas aux siennes. Mais il était prêt à tout pour savoir. Savoir où était sa sœur, savoir ce que lui cachait son père.
Et ses aptitudes au combat grandissant jour après jour, son but n’était plus si loin.

Test RP: Attendre le feu vert d'un admin


Dernière édition par Cormak Amnell le Jeu 1 Juil - 4:02, édité 13 fois
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Message par Jethro Montaudevert Lun 15 Fév - 22:32

Bonsoir, bienvenue, j'ai pas tout lu (la flemme a pris le pas sur mon âme ce soir) mais sache que la particule D. n'est pas acceptée pour les personnages inventés étant donné que cela semble être une clé du manga et qu'on ne sait presque rien dessus. ^^

Sur ce je te souhaite bonne chance pour la suite "in the navy" ^^
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Message par Cormak Amnell Mar 16 Fév - 0:20

Ok merci je savais pas, j'ai modifié le nom de mon perso, mon profil . Heureusement la particule n'avait pas trop d'importance dans mon histoire. Merci à toi camarade Smile
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Message par Maître du Jeu sait pas Mar 16 Fév - 0:58


Pas grand chose à ajouter ... L'écriture est agréable à lire, les fautes peu présentes (enfin, ça ne m'a pas choqué ^^) et l'histoire cohérente.
Par contre tu as tendance à faire un peu trop de répétitions notamment quand tu fais une liste de ce que tu aimes.

Sinon, 19 ans pour un sous-lieutenant, c'est vrai que c'est un peu jeune surtout s'il n'a pas fait d'école d'officiers. Je te laisse continuer sur ton post RP voir ce que tu vaux réellement. On verra ensuite pour le grade réel.

Bon courage pirat
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Message par Cormak Amnell Mar 16 Fév - 14:14

Pour les répétitions dans ma présentation, c'était voulu et c'était un petit jeu. Je vais peut être le vieillir d'un ou deux ans parce que la vingtaine a, il est vrai, plus de gueule.
Je posterais bientôt.

Merci pour tes conseils.
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Message par Maître du Jeu Rebelle Mar 16 Fév - 21:54

Fais nous signe lorsque tu as corrigé et écris ton RP ^^
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Message par Cormak Amnell Mer 17 Fév - 4:23

J'ai vieilli un peu le personnage (deux ans de plus) et j'ai modifié les parties de mon récit qui dépendaient de cela. A présent le post RP. Je ne sais pas si j'ai le droit de donner un nom à une île. si ce n'est pas le cas je modifierais même si je ne vois pas ce que je pourrais mettre.


***


Une vague de plus de six mètres menaçait de renverser le vaisseau de guerre. Un temps apocalyptique pour une mission des plus futiles. La future escale sur l’île de Statir n’intéressait Cormak que pour une bonne raison. Son contact avait enfin trouvé. Il avait trouvé où pouvait se trouver le busard. Un surnom ridicule pour un futur macchabée.

« Coco ! Prends la barre, dépêche-toi ! Tu tiens vraiment à mourir de ma main avant la fin de cet orage ?! »

Onigumo. Son supérieur. Un homme cruel que seules la puissance et la discipline pouvaient intéresser. Il lui ressemblait un peu en fin de compte. Béni serait le jour où il pourrait le fouetter jusqu’à ce qu’il promette de ne plus l’affubler de ce stupide surnom. « Coco ». Comme s’il ressemblait à un perroquet.

« Chef, je vous le répète encore, c’est Blitz ou Cormak, je…
- Si t’as le temps de réfléchir sur ton pauvre nom, dépêche-toi de diriger ce maudit gouvernail, Coco ! »

*Vieux fou* pensa-t-il en serrant les dents. Il était vraiment tombé sur le vice-amiral le plus détestable de cette fichue organisation.

Il s’exécuta donc, son cœur faisant des bonds à chaque remous que produisait l’invincible océan. Il manoeuvra à tribord toute pendant plusieurs miles. La mer réclamait de nouveaux invités aujourd’ hui, mais il était hors de question qu’il puisse mourir pour si peu. Jamais il ne le permettrait. L’équipage lutta ainsi des heures durant. Enfin, vers midi, ils sortirent victorieux de leur rixe aquatique. Le soleil se fit revoir peu à peu et les esprits se calmèrent.

« Bon boulot Blitz !» reconnut même le charpentier, éreinté de par les efforts qu’il avait dû accomplir afin de conserver le bâtiment à la surface de l’eau.
Il aimait vraiment ce surnom. La vitesse, la force, ce nom en était imprégné. Cormak répondit par un hochement de tête approbateur.

« Coco !! Tu nous as fait quoi tout à l’heure ? Tu voulais qu’on y reste ou quoi ? Attends un peu que je t’apprenne la vie toi ! Tu sais ce que c’est que la discipline ? »

Encore des réprimandes. Depuis qu’il avait été affecté ici, depuis que cet imbécile avec son heaume grotesque lui avait adressé la parole, il n’avait droit qu’à cela.
Il avait refusé que notre jeune homme puisse avoir des permissions la première année. Si Cormak n’avait quasiment pas de relations, ses rares contacts avaient dû attendre avant de lui communiquer les précieuses informations.
Il avait ensuite voulu le laisser à des grades insultants vu son niveau afin de lui faire soi-disant comprendre qu’il n’était rien.
Il l’avait obligé à rester membre de son équipage, malgré le statut récent qu’il venait d’acquérir. Dire que Blitz aurait pu diriger ses propres hommes à l’heure qu’il était. Ce vieil homme. Il l’avait brimé, puni, fouetté, rabaissé. Pour cela il le haïssait profondément.
Et pourtant il fallait lui reconnaître son efficacité. Cormak n’aurait jamais pu dépasser tous ces niveaux, ni perfectionner autant ses techniques si Onigumo ne l’avait pas autant mis à l’épreuve.
Les rares fois où celui-ci acceptait un combat singulier avec lui, il se montrait intraitable, violent et cruel. Et tellement puissant! Le garçon se rendait à chaque fois compte du chemin qu'il lui restait à parcourir. Sans fruit du démon en plus. Il n’avait pas eu l’occasion de choisir la facilité.

Onigumo se campa devant lui. Sa prochaine remarque serait celle de trop. Comme d’habitude.

« Chef, J’ai fait ce que vous m’avez demandé. Et arrêtez de m’appeler Coco !
- Silence ! Pour qui te prends-tu à me parler sur ce ton ? Le respect est la première qualité chez une sous-merde comme toi.
- Une quoi ? Vieux chnock vous ne méritez même pas que je trav…
»

Un coup de poing le stoppa dans ce qui allait devenir une tirade passionnée. Il tomba à la renverse et reprit péniblement son souffle. Quelle rapidité ! Il l’avait à peine vu bouger. Comme un faucon il s’était abattu sans lui laisser une seule chance.

« Si les autres te craignent pour ta relative puissance et ta tendance à la démence, saches que pour moi tu ne seras toujours qu’un oisillon. Adresse-toi à moi une autre fois de la même manière et je te ferai regretter d’être né, Coco ! »

Cormak soutint son regard quelques secondes avant de baisser la tête et de balbutier un « Oui, chef ». Il serrait les dents. Hélène. Le moment arriverait où personne ne pourrait s’opposer à lui. Et surtout pas cette vieille sangsue desséchée.

Statir. Une île printanière productrice de coton vivant de ce marché florissant.
Ils débarquèrent en début d’après midi. Leur but était de retrouver Shaun, un pirate qui avait tué et dépouillé deux bourgeois sur l’île voisine. Une tâche si insignifiante. Cormak avait mieux à faire. Le Busard. L’un des trois hommes de main de cet homme. Il était apparemment le seul de ceux-la à être encore en vie. Il avait été là le jour où sa mère était morte. Il saurait où trouver sa sœur. Il aurait des explications. Blitz saurait le faire parler, lui soutirerait toutes ses informations, puis l’exécuterait.
Son premier meurtre de sang froid. Il n’avait pas peur. Cet homme méritait mille morts.

Après avoir conseillé aux hommes de se disperser pour chercher, il se rendit à une taverne mal famée, dans le coin ouest de l’île. « Le joyeux luron ». Un nom bien mal choisi pour cet endroit qui empestait la mort.

Après s’être installé dans un coin, il détailla les différents ivrognes présents. La salle austère ne comprenait que six tables, et seule une dizaine de personnes peuplait la pièce.
Il le reconnut immédiatement. La description qu’on lui avait donné était fidèle. C’était un homme d’une trentaine d’années, le crâne rasé, un bandeau accroché autour de la tête. Une barbe brune lui mangeait le visage, et un tatouage représentant un serpent terrifiant ornait son épaule gauche. Il était solidement bâti, et paraissait peu engageant.

Soufflant un bon coup, Cormak se dirigea vers sa table et s’assit en face de lui. L’homme leva des yeux rougis méfiants et déclara d’une voix rauque :
« Quoi ? Qui es-tu ? Que me veux-tu ?
- Dans un premier temps je désire parler. Pour mon nom, appelle-moi Blitz.
- T’es quoi ? Un pirate ? Un chien du gouvernement ? Je te préviens, si c’est l’autre enflure qui t’envoie, sache que je…
- Je n’ai cure de tes explications. Je te cherchais car tu as des informations pour moi. Suis-moi dehors, je ne voudrais pas que des oreilles indiscrètes nous entendent.
- Ha ! Pour qui me prends-tu ? Sortir pour me jeter dans le premier guêt apens venu ? Je ne suis pas aussi stupide que toi ma parole ! Assez joué. Tu me dis ce que tu veux où tu quittes ces lieux. A moins que tu ne préfères que je te rosses un bon coup ?
- Tu peux encore te sauver. Suis-moi et il ne t’arrivera rien de fâcheux.
- Des menaces ? Tu oses proférer des menaces ? Mais tu cherches le fouet ma parole ! Ecoute, tu…
- Tais-toi. Très bien, comme tu veux. Je ne souhaite pas m’attarder. Tu vas tout me dire. Comment s’appelle-t-il ?
- Hein ? Qui ? Je ne sais même pas de qui tu parles garçon !
- Il y a huit ans. Tu étais là. Tu l’accompagnais. Tu souillais notre maison. Je ne connais ni son nom ni son visage. Je veux savoir le nom de cet assassin. Je le veux et je l’aurais, par n’importe quel moyen !
»

Une lueur passa dans le regard du pirate:
« Le… le rejeton ! Tu as survécu ! Comment…je…je savais qu’il fallait t’achever !
- Où est-elle ? Où est ma sœur ?
» Des larmes de rage commençaient à perler au coin de ses yeux. Les quelques soudards présents avaient stoppé leurs conversations pour écouter la dispute.
« Je…tu…Jamais tu ne la retrouveras ! Abandonne ta quête insensée ! Mon maître est bien trop puissant. Elle ne te rejoindra jamais ! »

*Elle est en vie !*

Sur ces mots, le brigand renversa la table en avant. Cormak était préparé et bondit en arrière. Ce laps de temps permit au Busard de se diriger vers la porte. Il fuyait ! Avait-il senti la force du jeune homme ? Ou était-il blessé et préférait-il se retirer ? Des questions sans intêret. Il ne le laisserait pas lui filer entre les doigts cette fois-ci ! Plongeant vers la porte, Cormak agrippa le bras du colosse, qui chancela mais parvint à le repousser vivement. Quelle force ! Plus qu’aucun des soldats qu’il connaissait. Peut-être autant que lui-même.

Il profita de ce moment pour quitter la taverne en courant, le jeune guerrier sur ses talons. Il devait le rattraper. S’il parvenait à s’échapper, son ennemi saurait qu’il était encore en vie. La course poursuite continua parmi les nombreuses ruelles sinueuses de Statir. Le gredin allait au port ! Il allait se fondre parmi les clients du marché et quitter l’île. Non, il devait l’en empêcher.

A chaque fois que Cormak reprenait du terrain, le Busard trouvait un moyen de le ralentir, gachant la précieuse avance gagnée. Le souffle court, le cœur battant à tout rompre, le marine continuait sa traque. Il parvint près des docks. Là, de nombreux soldats de sa garnison le virent poursuivre un inconnu. Sur le moment il s’en ficha. Seule comptait la capture du fugitif. Au bout d’une allée il le rejoint enfin et lui sauta dessus. Les deux hommes tombèrent ensemble sur le sol dur. Se relevant aussi vite que possible, il décocha un fantastique coup de pied dans le foie de sa victime. Celui-ci gémit et déglutit avec peine. Il se redressa lentement, et faisant face au justicier, déclara :
« Ta famille est maudite. Rien de ce que tu feras ne pourras changer ta destinée. Tu es condamné. Ta mère est morte parce qu’elle était faible.
- Ma mère est morte parce qu’elle n’a pas voulu se soumettre ! Ma mère… ma mère et ma petite sœur… vous me les avez arrachées ! Tu paieras. Tu paieras mais avant tu vas tout me dire. Je suis plus fort que toi. Je suis crains aujourd’hui. Fini l’enfant pleurnichard, je suis Blitz, l’homme qui scellera ta tombe !
- Tu peux bien être meilleur que moi, tu ne l’atteindras jamais. Ta pathétique quête de revanche est vaine. Soumets-toi à la fatalité et accepte ton sort !
- Jamais !
»
Alors Cormak bondit et frappa. Plus fort que jamais il n’avait frappé. L’homme reçu le coup en pleine figure, ce qui lui démit la mâchoire. Un sinistre craquement ponctua son geste.
Le barbare tituba, fit quelques pas en arrière, puis releva sa tête en sang. Malgré tout il souriait :
« Adieu, Blitz. »

Un fumigène jaillit des mains du Busard et envahit le lieu. Cormak toussa, se frotta les yeux , mais poursuivit sa course en avant. Il trébucha sur une petite charrette traînant sur la route puis parvint à sortir du nuage de fumée.
L’homme au tatouage s’était évaporé. Il quittait l’île ! Vite, il devait trouver un bateau et partir à sa poursuite. Courant le long du quai il chercha à rejoindre son bâtiment. Là-bas il emprunterait une embarcation.
Arrivé près du vaisseau, il aperçut un bon nombre de ses hommes conduisant sûrement le dénommé Shaun aux fers. Il s’en fichait. Il commença à défaire le nœud d’un des canots quand un coup de poing en plein visage le projetta au sol.
Onigumo se tenait en face de lui. L’air furieux et la clope au bec, il l’observait.
Cormak tenta de se relever, ce qui eut pour seule conséquence de lui récolter un joli chassé dans le ventre.

« Tu restes là Coco. Je ne sais pas ce que ce mec t’a fait, et je m’en fous. Mais en le retrouvant, et en faisant tes petites affaires, tu m’as une fois de plus désobéit. La fois de trop. Ta traînée de mère ne t’a donc pas éduqué ? »

A ces mots, le monde entier disparut, remplacé par un voile de ténèbres aussi sombre qu’une nuit sans lune. Et le vice-amiral n’était plus là, à sa place trônait un individu encapuchonné qui riait d’une joie morbide. Un individu qu’il se devait d’exterminer, de réduire en cendres. Cet état de transe était aussi répugnant que merveilleux. Il réclamait un tribut. Un tribut de sang pour toutes ses souffrances.

« La seule justice en ce monde doit se trouver au fond de ton cœur »

Dégainant son épée, et pleurant à chaudes larmes, il se rua sur l’assassin. Sa mère… il la revoyait se faire embrocher sans rien pouvoir faire. Toutes les nuits il en cauchemardait. Aujourd’hui il avait l’occasion. L’occasion d’en finir une bonne fois pour toutes. Ici et maintenant tout se terminerait.

*Maman…*

Onigumo esquiva la lame, puis assomma Cormak d’un grand coup derrière la nuque.
Le garçon tomba sur le ventre, évanoui, tandis que tous ses compagnons d’armes le regardaient avec stupeur.

« Attachez-le solidement et mettez-le dans la cale. Je m’occuperais de lui moi-même à son réveil » ordonna le capitaine.

Cormak se réveilla quelques heures plus tard. Il était attaché dans ce qu'il reconnaissait comme la cale du navire. Une vaste pièce sombre et humide dont il avait souvent été le pensionnaire, à chacune de ses incartades avec son supérieur.

Celui-ci descendit peu de temps après. Il se plaça en face du jeune homme, le toisant de son regard méprisant:
" Coco, ce que tu as fait tout à l'heure méritait largement une exécution. Devant tous mes hommes, tu m'as fait cet affront. Tu as osé.
Aujourd'hui je ne me fâcherai pas. Ce petit jeu est terminé. Tu as besoin d'une éducation. Une éducation que je ne peux t'apporter. Il faut croire que je me suis un peu attaché à ta petite personne. Tu es le premier que je ne tue pas après insubordination.
"

*Que raconte donc ce vieux fou? Où veut-il en venir ?*

" Il me reste donc trois choix. Te tuer pour mutinerie, te radier de la marine ou bien te confier à quelqu'un qui pourrait réussir là où je n'arriverai jamais. Je ne peux te laisser partir car tu t'empresserais de devenir un pirate et par conséquent une menace.
Je vais te faire la seule faveur que ta misérable vie mérite. Tu quittes mon service aujourd'hui . Va dans la base la plus proche d'ici, tu verras où tu as été affecté. Je n'ai rien d'autre à te dire. Adieu.
"

Le vice-amiral dégaina son épée et trancha les liens de Cormak. Il lui laissait la vie sauve. Cet homme qu'il avait haï lui offrait une chance. Jamais il n'aurait pensé cela possible.
Juste avant de gravir les escaliers pour revenir sur le pont, Onigumo entendit un timide "Merci pour tout capitaine".
Il ne se retourna pas, et sa cape ondulait quand il disparut de la vue du jeune homme.

Quelques jours plus tard, dans une base de la marine, Blitz lisait le formulaire qui l'informait de son nouveau supérieur et des membres de son équipage. Une légende. Il allait oeuvrer sous les ordres d'une légende. Onigumo avait-il prévu cela?
Le garçon reprenait donc la mer, en direction d'East Blue où le célèbre Monkey D.Garp l'attendait. Une nouvelle chance s'offrait à lui, et il comptait bien profiter de la situation pour acquérir plus de pouvoir.



Dernière édition par Cormak Amnell le Jeu 1 Juil - 4:41, édité 5 fois
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Message par Serviteur du Jeu de Mots Mer 24 Fév - 15:52

Bonjour à toi et bienvenue sur le forum Mr Red

Voici sans plus attendre mon commentaire !

Style

Pas grand chose à dire, tes textes sont très agréables à lire, l'écriture est fluide et l'intrigue est prenante. Si vraiment je voulais chercher la petite bête je dirais attention à certaines formulations maladroites comme par exemple:
Cormak Amnell a écrit:tu as signé ta propre tombe !

Orthographe

Des petites fautes par-çi par-là, mais rien de bien méchant, en étant plus vigilant cela serait parfait. Bref je n'ai pas eu grand chose à me mettre sous la dent Mr Red bravo !

Avis

Finallement pas beaucoup de points négatifs, cela est un réel plaisir à lire. Je proposerais donc un rang 5 sans hésiter. N'hésite pas à developper un peu plus tes descriptions des décors afin d'étoffer tes récits !
Je laisse donc le soin aux autres guides de jeu de venir se prononcer pour ton personnage, si tu as des questions tu peux me Mp sans problème Smile

Au plaisir.
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Message par Maître du Jeu Rebelle Mer 24 Fév - 17:20

Bienvenu,

Je suis d'accord pour ton niveau 5, par contre, pour continuer dans la marine, tu vas devoir changer de dirigeant mais ça, je te laisserai voir avec les autres ^^

Bon jeu donc, je te valide ^^
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Message par Cormak Amnell Mer 24 Fév - 21:29

Merci pour vos conseils et pour ma validation. ^^


Je ne suis pas du tout satisfait de mes deux posts , si bien que je vais les reprendre. Je ne cherche pas à tout prix que cela ait une influence dans mon niveau mais je remarque effectivement beaucoup de fautes de syntaxe ou des maladresses.
J'ai commencé à reprendre mes descriptions, je vous ferais signe quand j'aurais corrigé mes deux textes.
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Message par Cormak Amnell Jeu 11 Mar - 21:51

J'ai modifié quelques éléments qui dépendaient de mon affectation chez notre cher Garp Smile
Je ne revois pas tout mon post pour le style car je préfère m'améliorer au fur et à mesure plutôt qu'essayer d'être au meilleur rang direct.

J'ai donc changé de supérieur. Merci pour vos conseils Very Happy
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