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Vinegar Prosciutto, à moins que ce ne soit Abbachio Costello....

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Abbachio Costello
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Message par Abbachio Costello Mar 20 Juil - 1:27

~° Humains et autres races°~


~°Présentation du Joueur°~


Prénom: Daphné

Age: 19 ans

Ce que vous aimez: Plein de choses.

Ce que vous n'aimez pas: Tout autant qu‘au-dessus.

Première Impression: Bonne, le forum est bien et respire la joie de vivre.

Autres : Les " / " sont là pour démarquer le premier du second perso.


Comment avez vous connu ce forum?: Sur Ops



~°Présentation du Personnage°~



Nom Costello / Vinegar

Prénom: Abbachio / Prosciutto, mais personne ne connaît plus son nom, on l‘appelle seulement par ses surnoms.

Surnom: Aucun / Le Second, Lieutenant, L‘assassin fantôme.

Age: 27 ans.

Sexe : Masculin

Est-il existant ou inventé ? Inventé.

Race : Humain


Vinegar Prosciutto :

Description Psychologique ( 5 lignes minimum ):

Vinegar Prosciutto est une personne soumise à ce que l’on appelle communément le dédoublement de personnalité. En effet, plusieurs personnalités habitent son corps ou, tout du moins, une seule : Abbachio Costello. Ce dernier est une couverture pour le bras droit du Boss de l’Ufficio Oscuro. En effet, contrairement à tout autre personne atteinte de cette ce trouble de la personnalité multiple, en plus de changer de personnalité, Le Second change de corps. Du moins, pas vraiment de corps, mais la totalité de la personnalité change, ce qui peut faire paraître à d'autre que Prosciutto et Abbachio ne sont pas une seule et unique personne. La seule particularité que l'on notera est que les yeux change de couleurs lorsque la transformation s'opère.

Abbachio parraissant plus jeune et n’ayant pas les mêmes mimiques ni la même façon de se tenir, le lieutenant s’en sert lorsqu’il doit accomplir une mission d‘assassinat. Personne ne doit connaitre sa véritable identité ni découvrir qu’il est en fait Le Second. Sa montée en grade dans le gang s’est faite sous un faux nom : Risotto Leone. Il n’apparaît que lorsqu’il le faut, c’est-à-dire quand il doit abattre un traître au gang, qu’il doit sauver la mise à Abbachio, ou encore quand quiconque tente ou apprend son identité ou celle du Boss. Étant le bras armé du Boss, il ne craint rien ni personne et se montre impitoyable envers ceux qui osent trahir l’Ufficio. Faisant partie de ces tueurs confirmés, il possède un sang-froid à toute épreuve et maîtrise plusieurs armes, sans pour autant les manier à la perfection.

Comme le devrait chaque assassin, il respecte la vie, mais n’hésite pas à la prendre quand le besoin s’en fait sentir. Il se dédie corps et âme au gang et en particulier au Boss, seule personne qu’il n’ait pas réussi à abattre lors de son ascension fulgurante au sein de l’Ufficio et aussi la seule personne à connaître sa véritable identité. De ce fait, Prosciutto lui voue un profond respect. N’utilisant la force que pour sortir Abbachio d’un mauvais pas, il laisse, en général, ce dernier se débrouiller, mais il arrive que, quand la mission soit assez importante, il prenne le relais, quitte à être repéré sous son vrai physique. D’un naturel patient, il attend que son double ait filé la cible et emmagasiné assez d’information dessus pour agir. Cela peut durer plusieurs jours, peu lui en chaux.

Le Second n’entretient évidemment pas de relations externe, comme interne, étant donné qu’il ne veut pas que son identité soit mise à nue devant tout le monde. Il ne veut pas tuer tout le monde après tout. Grâce à ces non-attachements psychologique, personne ne sait qu’il existe au sein du gang. En revanche, ce que tout le monde sait, c’est qu’il ne faut pas chercher à découvrir qui est véritablement le Boss, sous peine de recevoir la visite sous peu d’un tueur dit " fantomatique " car personne ne l’a jamais vu ou n’est encore vivant pour en parler.

Description Physique ( 5 lignes minimum ):

Dans la continuité de son envie de ne pas vouloir être découvert, son corps suit le mouvement. En effet, d’une taille très légèrement au-dessus de la moyenne (1m77), il passe inaperçu dans une foule. Son teint légèrement mat offre un contraste avec ses yeux d’un bleu si clair qu’on pourrait y voir du gris. Ses yeux évoquent, pour ceux qui les regarderaient, ceux d’un rapace, toujours sur le qui-vive et attentif à chaque mouvement. Ce joli minois est également mis en valeur par une longue chevelure blonde, tirant sur le blanc, dont la raie zigzague au sommet du crâne. Si l’on s’attarde sur ce visage, on peut voir ce qui est souvent considéré comme une honte auprès des hommes : Prosciutto est imberbe, ce qui plairait sans doute beaucoup aux femmes s’il ne s’évertuait pas à garder ses distances avec le monde. Ses muscles sont finement dessinés sur son corps d’athlète, si bien qu’on ne peut le confondre avec un Schwarzenegger allaité aux anabolisants ni au pékin moyen avec la peau sur les os.

Contrairement au style vestimentaire assez sérré pour lequel opte Abbachio, l'assassin personnel du Boss a adopter un style qui lui laisse toute sa liberté de mouvement, chose qui est primordiale dans un assassinat déroulant malencontreusement sur un combat. De fait, il porte les même vêtements qu'Abbachio (ou serait-ce l'inverse?) mais les manches et le pantalon sont sensiblement plus larges que sur les vêtements de son homologue. Préférant rester dans l'ombre, tout ce qu'il met est de couleurs sombres, lui permettant de se fondre dans la masse de la population ou dans les ombres des ruelles mal éclairées. Il porte également, en contraste avec le reste, des gants blancs très fin qui épouse parfaitement ses mains et qui lui permette de ne laisser aucune trace quelle quelle soit
Sa démarche s’apparente à celle d’un prédateur. En effet, il avance d’un pas long et aussi silencieux que la mort.


Abbachio Costello :

Description Psychologique ( 5 lignes minimum ):

Abbachio Costello est instable et, comme la plupart, ne le sait pas. En revanche, ce qu’il sait, c’est qu’il est l’informateur personnel du Second. Il est le seul à l’Ufficio à savoir que Prosciutto existe, mais, même lui ignore son véritable nom qui s’est perdu dans les méandres du temps. On pourrait alors se demander comment peut bien faire le jeune Abbachio pour contacter son supérieur pour lui soumettre ses informations. Il n’en fait rien, il a assimilé le fait que tout ce qu’il apprend parvient aux oreilles du Lieutenant et que, tout ce qu’il sait, Le Second le sait également. Mais le dialogue s’installe parfois entre eux et c’est là qu’intervient la particularité de la personne. Le génie du scalpel imite alors le bruit d’un escargophone avec sa bouche, qu’il décroche par la suite pour avoir une conversation avec lui-même. Dans ces moments de " transe ", Abbachio possède deux yeux différents, un des siens et un de ceux de Prosciutto. S’il parle au Lieutenant le plus souvent par escargophone, il peut très bien le faire avec n’importe quel objet lui passant sous la main, cela peut très bien être une glace léchée par un enfant qu’il se colle à l’oreille et parle dans le cornet, comme si de rien n’était. Il ira même jusqu’à houspiller ceux qui ne décroche pas leur " escargophone ".

D’un naturel discret, discrétion exigée par sa pratique, cela ne l’empêche pas de nouer certaines amitiés. Son but n’est pas que l’on ne découvre pas son identité, comme Le Second, mais de passer pour quelqu’un de si banal, qu’on imaginerait pas un seul instant qu’il puisse occuper une fonction aussi importante dans un gang mafieux tel que l’Ufficio Oscuro. Ce n’est pas un combattant dans l’âme et il lui arrive de faire appel, inconsciemment, à Prosciutto pour le sortir d’une situation peu désirable. Dans ces cas, " l’escargophone " sonne et Le Second lui intime l’ordre de lui laisser la place. Ce faisant, il n’a aucun souvenir de ce qui s’est passé une fois que le Lieutenant se dissimule dans les plis de son esprits. Pas très courageux dans les combats, il arrive qu’il reçoive des encouragements de son alter-ego qu’il ne veut alors décevoir pour rien au monde, après tout c’est un privilégié.

Du courage, il en a à revendre lors de ses interventions. Étant un chirurgien réputé, mais sans attache, il lui arrive de travailler pour des hôpitaux, qui font appel à lui pour se sortir d’une situation difficile lors d’une intervention chirurgicale, lorsqu’il se retrouve sans le moindre sous. Être le " chouchou " d’une personne inconnue de tous ne fait pas de lui un homme riche pour autant et son argent, il le gagne avec ce que lui verse les centres hospitaliers sollicitant ses services. Ce chemin qu’il a décidé de choisir l’aide également dans l’office qu’il a à remplir pour l’Ufficio. En effet, les interventions chirurgicales pouvant durer des heures, il est devenu quelqu’un d’extrêmement patient, ce qui lui permet de ne pas se presser et d'être attentif pour collecter les informations nécessaires à Prosciutto.


Description Physique ( 5 lignes minimum ):

Légèrement plus grand que son alter-égo (1m80 qui sont dûs au fait qu'il se tienne plus droit que Le Second), son physique ne se remarque pourtant pas plus. Son torse est, évidemment, aussi glabre que celui de Prosciutto, ce qui semble plaire aux femmes. Son visage fin est encadré par de long cheveux d’un blond tirant vers le blanc coiffé de la même façon que Prosciutto et contrastant eux aussi avec un teint aussi mat que celui du Lieutenant. Ses yeux en amende de couleur mauve renvoie immanquablement les personnes les voyant aux champs de lavande de leur enfance. Lorsqu’on les croise, on peut également voir pétiller un je-ne-sais-quoi que l’on peut assimiler à de la curiosité et à de l’engouement.

Le style vestimentaire est opposé à celui de Prosciutto puisqu'il est plus sérré,laissant ainsi une moins grande liberté de mouvement. Il porte une longue veste noire s’arrêtant au niveau des genoux, fermée sur le torse par des lacets et maintenu par une ceinture. Il ne porte rien dessous, ce qui laisse entrevoir quelques blessures reçues lors des différentes missions du Second. Il met également un pantalon noir et des chaussures noires. Tout ce style convient donc parfaitement aux besoins du Lieutenant, rester dans l’ombre. Mais ce style convient également à Abbachio, car, même si son désir n'est pas que personne ne sache sa véritable identité, il aime garder une certaine banalité dans le choix de ses vêtements.


Pouvoir/capacité :

Pas de pouvoir particulier si ce n’est qu’il peut mieux se fondre dans la foule en changeant de personnalité. Mis à part cette capacité et étant un assassin, Prosciutto a une connaissance plus ou moins poussé sur pas mal d’armes. De fait, il pourra aussi bien se servir d’un fusil que d’un sabre d’abordage. Mais les armes qu’il affectionne particulièrement sont ses deux Iron Kneckle (un genre de poing américain avec une lame au bout, comme les armes d’Asuma dans Naruto pour ceux qui connaissent) avec lesquelles il est un véritable virtuose. Ses armes sont les biens les plus précieux qu’il possède étant donné qu’elles lui ont été remises par le Boss en personne. La particularité de ces armes est que l’une est totalement blanche (lame et manche compris) et l’autre, inversement, noire (tout pareil que l’autre). Le métal est inconnu, mais étonnamment solide pour la taille et l’épaisseur. Ne se socialisant pas, Prosciutto a appris à compter uniquement sur ses armes (et sur Abbachio), si bien qu’il leur a donné à chacune un petit nom : la blanche s’appelle Altaïr et la noire Ezio. S’entraînant depuis son plus jeune âge au maniement de la dague, il n’eut aucun mal à s’adapter à ces nouvelles armes.

Ne comptant pas sur sa force pour triompher de ses adversaires, Abbachio/Prosciutto utilise sa tête et sa vivacité pour vaincre. À force d’apprendre des livres de médecine par cœur et d’opérer, il a obtenu une précision et une vitesse d’exécution supérieure aux autres chirurgien. Précision et vitesse qu’il exploite dans ses différents combats. Connaissant chaque organe, comment l’atteindre, lesquels peuvent être mortels ou non, il se contente de bien viser pour finir son contrat rapidement et proprement.


Grade : Chirurgien / Tueur personnel du Boss.


Nom de votre ville ou village : Truscello (ville natale).


Histoire ( 30 lignes minimum ):


La naissance et l’enfance :


Les circonstances concernant la naissance de ce petit bout d’choux sont des plus troublantes étant donné qu’il naquit dans une prison composée uniquement de femmes et après vingt mois d’emprisonnement de la mère. Personne ne comprit le pourquoi du comment, mais l’enfant ne pouvait rester dans cette prison, il fut donc décidé qu’il irait vivre dans l’orphelinat religieux de la ville. Truscello, sans compter le fait qu’elle abritait en son sein la célèbre prison pour femme du nom de Fabriano, était une petite bourgade tranquille et sans histoire. Tout le monde connaissait tout le monde, le boucher passant le bonjour au bûcheron par l’intermédiaire du docteur. L’histoire d’un petit garçon né dans une prison pour femme alors que sa mère y avait été incarcérée vingt mois plus tôt constituait désormais le sujet le plus discuté du bourg. C’était à la fois impensable, mais en même temps tellement beau. Une sorte de message d’espoir apporté à la mère qui ferait davantage d’effort par la suite pour s’occuper de son enfant. Du moins, c’est ce que disait la populace, car, une fois sa détention finie, elle disparut sans laisser de trace. Pauvre enfant qui serait seul pour le reste de ses jours, sans connaître ni sa mère, ni son père.

L’enfance du garçon, prénommé Vinegar Prosciutto par les religieux de l’ordre dans lequel il était, se déroula sans accroc, il ne manquait de rien, sans pour autant vivre dans l‘opulence. C’était un garçon très sage, pas très loquace certes, mais exécutant toujours sans discuter les tâches demandées. Ne pas connaître ses parents ne l'importunait pas plus que ça, même s'il n'était pas très loquace lorsque les religieux abordait le sujet de sa mère en détention et du fait qu'elle sortirait bien un jours. Le Père Squillace s’était pris d’affection pour le bambin dès l’âge de quatre ans. Il le prit sous son aile et entreprit de lui apprendre à lire et à écrire pour qu’il poursuive la voie des religieux. Dès lors, il vécut avec le Padre dans sa petite maison en bordure du village. Squillace faisait partie de ces religieux qui s’autogèrent en communauté, mais il était surtout quelqu’un transpirant de gentillesse, si bien que dès que l’enfant ne parvenait pas à faire quelque chose, à attraper un quelconque objet, ou encore à formuler ce qu’il avait en tête, le Père était à ses côtés et l’aidé dans sa tâche. Mais l’enfant ne montrait pas autant d’enthousiasme que le ferait un autre marmot. Il n’exprimait que rarement ses émotions et, à mesure qu’il grandissait, il était de plus en plus distant avec le prêtre. Il était très distant et ne faisait que lire, et ce avec fascination, des livres s’apparentant à la médecine rudimentaire qu’exerçait les prêtres entre eux.

Voyant que Prosciutto ne montrait que peu d’intérêt à ce que lui apprenait le prêtre, ce dernier entreprit de lui apprendre la chasse lorsque le bambin atteignit ses dix printemps. Son ordre religieux chassait pour subvenir à ces besoins et ils remerciaient à chaque fois leur Dieu de leur avoir permis de réussir à tuer la proie. Trop jeune pour tenir un arc, Squillace avait donné au futur assassin la tâche de dépecer les proies. C’est donc que, couteau en main, il s’exécutait, toujours sans discuter. Mais ce que le Père ne savait pas, c’est que Prosciutto prenait du plaisir à manier cet instrument si léger et en même temps si terrifiant de par son fil aiguisé. De plus, voir les organes, qu'il ne pouvait voir que par image dans les livres de médecine, " pour de vrai " le fascinait, il n'éprouvait aucune répugnance à regarder à l'intérieur des corps des bêtes. Voir les " rouages " était si beau. Il aimait tant cela que lorsqu’ils allaient chasser, il gardait toujours la dague que le Père lui avait donné pour dépecer, il ne s’intéressait pas, comme le ferait n’importe quel mouflet en voyant une grande personne faire " un truc de grand ", à l’arc ou à la lance que le Padre maniait pour chasser. Ne se rendant compte de rien, Squillace laissait l’enfant faire sans se soucier du pourquoi il préférait la dague aux autres armes.




L’adolescence :


À partir de ses quatorze ans, un changement imperceptible s’était amorcé dans l’enfant. Il voulait faire la relation entre les livres de médecine lus et les parties de chasses. Se demandant tantôt ce qui arriverait si jamais il plantait le couteau dans le lobe supérieur du poumon droit, situé entre les deuxième et troisième côtes. Est-ce que la personne mourait instantanément, ou après une lente agonie? Il se demandait encore comment exercer ce qu’il voulait faire comme futur métier : médecin chirurgien. " Trifouiller " les corps devait être une source de plaisir intense. Coudre les membres également. D’ailleurs, que se passerait-il si jamais il venait à coudre la bouche ou les yeux de quelqu’un. Est-ce que cette personne ne pourrait plus parler? Ne plus voir la lumière du jour? Tant de questions qui restaient sans réponses. Durant ses parties de chasses avec le Père, il lui arrivait de mettre les petits animaux que Squillace tuait dans des recoins cachés des bois. Puis, à la nuit tombée, lorsque, comme tout les autres orphelin, il devait aller se coucher, il sortait de sa chambre pour retrouver ses proies et s'exercer dessus en attendant d'être en possession d'un véritable humain.

À ses dix-sept ans, il avait abandonné l’idée de tuer un des religieux ou un des villageois et de s’en servir pour pratiquer son art. Trop de risque et trop de questions se poserait dans cette bourgade où personne ne pouvait garder un secret plus d’une journée. À croire que la promiscuité était le maître mot à Truscello. Il ne pourrait jamais rien accomplir de bon avec ce village dans ses pattes. Lui, qui voulait par-dessus tout ne pas être reconnu de tous ne serait jamais tranquille dans cette bourgade.
C’est cette année que sa mère sortit de prison. L’occasion qu’il avait tant attendu se présentait enfin à lui, il pourrait utiliser une personne pour ses expériences sur le corps humain. Personne ne poserait de question, pensant que la femme aurait reniée son enfant plutôt que de courir vers lui et rattraper toutes ces années perdues. Contre toute attente, elle choisit la deuxième solution, agissant sans prévenir quiconque puisque personne ne voulait approcher une ex-prisonnière de toute façon. Mais Prosciutto n’était pas du même avis qu’elle. Rejoignant son fils à un endroit où l’adolescent avait l’habitude de se rendre et qui avait la particularité d’être peu fréquenté, mieux vaut être seul que mal accompagné, la réunion familiale eu lieu. Des bois denses où le Père et le futur assassin avait l’habitude de se rendre pour chasser, il connaissait le terrain par comme sa poche. Sans questionner les habitants du village, la femme avait entendu dire que son fils, qui, elle le savait, avait été chez les religieux pour son éducation, se promenait parfois dans ces bois en compagnie de son précepteur. Adossé à un arbre, psychopathe en herbe aperçut sa mère. Il l’avait déjà vu lorsque le Père et lui était allé à la prison pour que la mère puisse constater les progrès de son fils. Heureusement pour lui, il avait une bonne mémoire des visages et celui-ci l’interpella, même s’il ne l’avait pas vu depuis un bon nombre d’années. Sa mère avait quelque peu maigri, mais le visage restait le même malgré les joues un peu creusées.
Il ramassa une branche et une pierre dans chaque main et profita du fait que sa mère se repérait pour se cacher derrière l’arbre auquel il était adossé plus tôt. Il jeta la pierre un peu plus loin que l’arbre derrière lequel il était caché, la mère réagit presque aussitôt et se dirigea derechef vers la source de bruit. Elle dépassa son fils. La dernière chose qu’elle vit fut une pierre posée à terre. La branche s’abattit sur son crâne. Il avait enfin le cobaye rêvé, personne ne se souciait des prisonniers, qu’ils soient hommes ou femmes, et cela arrangeait bien ses affaires.
Tout ce qu’il avait imaginé fut testé le jour même. D’abord, il cousu les yeux et la bouche de façon à ce qu’elle ne puisse ni parler, ni voir quoi que ce soit. Ensuite, une fois qu’elle recommença à se tortiller, il planta doucement le couteau de chasse dans le lobe supérieur du poumon droit. Puis, il attendit, pas trop longtemps heureusement. Les poumons s’engorgeait rapidement de sang que sa mère, qui était désormais une femme comme tant d’autres pour Prosciutto, crachait tant bien que mal d’entre les sutures. Même pas une minute après, elle rendait l’âme. Ayant expérimenté ce qu’il voyait comme des questions assez importantes de la médecine, il décida d’enterrer sa génitrice à côté de la maison du Padre. Avec elle, il enterrait son premier lien, son passé primaire et surtout, il faisait le premier pas vers l’anonymat.

Trois années passèrent sans que l’adolescent tueur ne récidive. Voyant le petit bout de choux qu’il avait pris sous son aile s’envoler comme un grand, le Père, désormais supérieur de son ordre religieux, décida de lui construire sa propre petite maison. Après tout, voyant la chose comme à la vieille école, Squillace voulait que « son enfant » ait sa propre intimité. Le soir même, il se mit au travail en jetant les bases de la future maison à côté de sa demeure. Creuser les fondations n’était pas de tout repos pour quelqu’un d’aussi âgé que le Père supérieur, mais le plaisir de Prosciutto lui importait réellement, même si celui-ci ne montrait pas grand-chose de ses émotions au religieux, il savait qu’il l’aimait autant que lui l’aimait. Mais, ce fut au moment où la pelle percuta un objet à la fois solide et mou, que tout bascula, non seulement pour le prêtre, mais aussi pour la totalité des habitants de Truscello. Le Padre déterra l‘objet de son intrigue. Sa surprise fut totale lorsqu’il découvrit qu’il s’agissait de la mère de son protégé. Non seulement c’était bien son corps, mais, on pouvait voir qu’elle avait été persécutée avant de mourir, les yeux et la bouche cousue en attestés. Rebouchant la sépulture primaire qui avait été donnée à la mère de son protégé, il se résolut à lui en parler le lendemain, pour le ménager un peu.

Le soir même, Truscello était léchée par les flammes. Personne ne s‘en était sorti vivant, tel était le bilan des autorités dépêchaient pour l‘affaire. Prosciutto n’avait désormais plus de passé, plus personne ne connaitrait son véritable nom, à moins qu’il le donne, et enfin, il serait l’ombre qu’il avait toujours voulu être.




L’âge de déraison :

Deux ans après l’incident de Truscello, Prosciutto soufflait ses vingt-deux bougies. Il était partit de sa ville natale pour profiter de son anonymat dans la grande et somptueuse ville de Cosa Nostra. Truscello était une petite ville sur une immense île de Grand Line et Cosa Nostra faisait office de capitale. C’était une ville malfamée qui abritait en son sein plusieurs petits gangs dans lesquels il fallait faire partie si l’on ne voulait pas perdre ses possessions voir la vie. Le futur Lieutenant ne faisait pas exception à la règle et il avait décidé de rejoindre un gang peu connu, mais décidément très prometteur : l’Ufficio Oscuro. C’était une petite frappe comme tant d’autres, mais il avait quelque chose de plus qui plût au Boss. Ce petit je-ne-sais-quoi qui démarque le pékin moyen de quelqu’un prévu pour de grandes choses. Il n’était peut-être pas adapté pour ces grandes choses, mais il ferait plus que la majorité de ceux dont le Boss avait déjà croisé la route. Ce dernier organisa une rencontre avec l’élément prometteur de son gang. Risotto Leone, puisque c’est ainsi qu’il se faisait appeler désormais, reçu l’invitation avec un enthousiasme qu’il ne sut que difficilement contenir. Il avait une occasion de devenir le chef du gang en supprimant celui qui siégeait actuellement à cette position.
En vue de l’entretien, Risotto avait préparé une arme particulièrement facile à cacher et indubitablement mortel. Une lame de la largeur d’un doigt qu’il cacha sous la peau de son avant-bras. Sa connaissance en médecine lui permit de faire cela sans pour autant s’ouvrir les veines et provoquer une hémorragie mortelle. Recouvrant la plaie de suture, il était prêt à affronter son destin. Mais le Boss se révéla quelqu’un de bien plus malin que lui, il avait prévu son assassinat et, quand la lame de Risotto s’abattit, ce fût sur un sous-fifre du gang. Sortant de l’ombre et tapant des mains, le chef offrit à son subordonné le droit de rester à ses côtés et plus encore, de devenir son assassin personnel. Il ne demandait que deux choses à Prosciutto, d’obéir sans une once d’hésitation et sans poser de question et de respecter un code bien précis lors de ses missions.
Trop heureux de ne pas être exécuté sur-le-champ, il accepta sans hésiter, devenant ainsi le bras droit de celui qu’il avait voulu tuer.
Dès lors, le comportement de Prosciutto mua, il n’était plus indifférent à ceux auxquels il donnait la mort, il éprouvait du respect pour quelqu’un et surtout, il n’était plus seul, son lui intérieur s’était manifesté lors de ses longues soirées de solitude. Abbachio Costello, sa seconde identité, n’était pas très courageuse, mais elle ne désobéissait pas et c’était là, le point le plus important de sa personnalité pour son alter-égo. Mais ce n’était pas la seule chose intéressante chez Abbachio, ce qui rendait l’assassin en chef joyeux était le fait qu’il pouvait désormais se jouer de tous grâce à son dédoublement de corps qui se joignait au dédoublement de personnalité. En effet, dès que le petit nouveau prenait place dans le corps de Prosciutto, il changeait. Devenant plus grand, ses cheveux tirant sur un blanc laiteux et sa cornée changeant de couleur, il était désormais impossible pour quiconque de le reconnaître, fut-il que quelqu’un le reconnaisse, premièrement. Grâce à ce double, le Lieutenant glanait des informations sur ses proies sans que quelqu’un se doute un seul instant qu’il faisait partie de l’Ufficio, son corps n’était pas taillé pour se battre. Mais ses talents de dédoublement lui servir dans un premier temps à traquer et tuer ceux qui avaient eu le malheur de voir son visage, c’est-à-dire, ses premiers " coéquipiers " au sein du gang. Cette tâche accomplie, il se dévoua corps et âme au Boss, hissant l’Ufficio Oscuro au rang de gang le plus craint, suite à la disparition des différents chef de gang qui existait. Le Boss de l’organisation n’avait posé aucune question concernant les disparitions au sein du gang, il comprenait parfaitement le désir de son subordonné de rester dans l’ombre. Lui-même était entouré de mystère et personne ne connaissait sa véritable identité, pas même son bras droit qui n’avait aperçu pour tant et pour tout qu’un bout de son menton, le reste du visage étant dissimulé derrière une large capuche sombre.
Vinegar Prosciutto respectait tout de même le code qui devait désormais régir chacun de ses contrats et la première de ces règle était tout d’abord de respecter la vie, même s’il fallait la retirer à son possesseur. Ne pas avoir de haine contre les chefs de gang était chose aisée étant donné qu’il ne les connaissait ni d’Eve ni d’Adam et que, malgré les mœurs de certains, qui aurait choqué la pudeur de la plupart, leur raison de faire tel ou tel chose ne le regardait pas. Il se contentait d’exécuter les ordres en même temps que ses cibles. Ayant participé activement à l’établissement d’une nouvelle ère de grandeur pour l’Ufficio, Prosciutto fut récompensé par son Boss en personne qui lui offrit les bien les plus précieux du chef du dernier clan vaincu, deux lames montées sur des poings américains. L’une était blanche comme l’ivoire, tandis que l’autre était noire comme l’ébène. Ce furent dès lors les biens les plus précieux de l’assassin personnel du Boss. Ne se posant pas plus de question sur la couleur des armes, il s’était rapidement adapté à leur maniement. Elles étaient légères et à la fois si solide qu’il se plaisait à les utiliser pour tuer.

C’est alors que, six ans après avoir rejoint l’Ufficio, le Boss fut abattu. Qui avait pu découvrir son identité et par quel moyen, le fantôme qu’était devenu Prosciutto n’en avait cure. Seul importait la mort de son Boss et le poing vengeur qu’il abattrait sur ses assassins. Voilà la chose dont il était sûr, ils s’étaient mis à plusieurs pour mettre fin à ses jours, il était trop malin pour se faire avoir par une personne. Pour l’identité des tueurs, il avait son idée. D’après lui, ceux qui en voulaient le plus au Boss était le réseau assassin du gang. Prosciutto ne faisait pas partie de ce groupe, il était directement rattaché à son supérieur. Il avait d’ailleurs dû tuer deux d’entres eux l’année précédente. Deux des plus grands assassins du groupe, Formaggio et Melone. Ils faisaient partis des plus compétents et, malgré le fait que le groupe, spécialisé dans l’assassinat, comportait onze membres, ses deux là travaillaient toujours de pairs. Mais le problème de l’assassinat est qu’il comporte beaucoup de risque et la seule récompense que l’on reçoit, c’est les remerciements du Boss. De fait, la pair assassine avait prévu de découvrir l’identité du Boss afin de prendre sa place et de jouir d’un pouvoir plus grand. Ce dernier avait eu vent de l’affaire et avait décidé d’envoyer son élément sur les lieux où ils avaient été vus pour la dernière fois afin de montrer à quoi s’attendre lorsque l’on décidait de trahir le gang. Prosciutto se permettait de faire une entorse au code qu’il suivait et cela concerné les traîtres. Mordre la main qui nous nourrissait horripiler le tueur. Dans ces cas là, il se montrait créatif dans ses méthodes. Le reste du groupe était d’accord avec le fait que les deux assassins cherchent à découvrir l’identité du Boss, mais, pour autant, ils ne prenaient pas part activement à la recherche. C’est pourquoi les ordres du Boss concernaient seulement Melone et Formaggio qu’il savait être des traîtres.
L’exemple fut pour le moins.....exemplaire.
Un jour que le groupe rentrait de différentes missions, ils trouvèrent le cadavre de Formaggio étendu sur le canapé. Il était mort à cause d’un bâillon enfoncé dans sa gorge qui l’avait étouffé. Mis à part cela, aucune blessure externe n’était visible, mais, sur la chemise, il avait un bout de papier collé avec le simple mot « punition » inscrit dessus. Empli de haine à l’encontre du Boss, ils cherchèrent Melone, mais ils ne trouvèrent aucune trace de lui. Un jour, un colis transporté par cormoran leur parvenu. C’était un cadre avec trois objets encastrés dans une sorte de vitre, une sorte d’image en trois dimensions. Chaque jour, durant la même période, ils reçurent le même type de colis pour un total de trente-six. Quand le groupe mit les paquets ensembles, ils découvrirent que ce n’était pas des décorations. Enlevant les cadres qui supportaient les structures de verres, ils alignèrent lesdites structures pour se rendre compte que les choses vitrifiées étaient les morceaux de Melone. Son visage était littéralement horrifié comme s’il avait été découpé vivant.
Prosciutto était tombé au sens propre du terme sur les deux assassins alors qu’ils se laissaient aller. Pour cela, il avait utilisé son double Abbachio, sa tête d’ange ne prêtant pas à la méfiance. Prenant soin de collecter et de colporter les informations pour son chef, Abbachio avait suivi et enregistré chacun des mouvements de chaque personne du groupe. Le Boss avait été décisif pour agir, il avait ordonné à tous les assassins, exceptés les traîtres de partir en contrat dans quelques îles éloignées, histoire de laisser le temps à son tueur d‘accomplir sa tâche. Du pommeau de ses armes peu orthodoxes, ils avaient assommés et transportés les deux Juda ailleurs. Il savait que le groupe était dispersé, occupé à accomplir leurs ordres, et que c’était alors la meilleure occasion qu‘il aurait. Les deux victimes s’étaient réveillées dans une pièce lugubre. Bougies à moitié consumées et murs, devant être blanc à une époque, tirant sur le noir était le décor. Le bras droit du Boss les avaient ligotés, l’un à une chaise était également bâillonné et l’autre, seulement attaché à une table. Il comptait leur faire subir à tout deux le même sort, une mort lente et douloureuse. Melone était sur la table de chirurgie dont l’hôpital, désormais désaffecté, n’avait plus besoin. Éloigné de tout et de tous, l’hôpital était désert et par conséquent très calme, de quoi faire toutes les petites affaires qu’il avait prévu sans le moindre souci. Il avait pris un feutre pour marquer des pointillés tous les cinq centimètres sur le corps de Melone dont la peur se lisait dans les yeux. Le lieutenant n’avait même pas prit la peine de bâillonner sa cible, voulant entendre ses cris de douleurs se répercuter dans l’enceinte du bâtiment. La gestuelle du tueur ne souffrait d’aucune perturbation, la main cisaillant lentement la chair du traître, centimètre par centimètre.
Même si la cible était morte depuis longtemps, Prosciutto n’arrêta pas sa main, finissant le travail proprement. L’expression du pauvre Melone était figée en une terreur muette, les yeux étaient révulsés et la bouche grande ouverte, comme si elle avait voulu crier une dernière fois. Ayant fini le travail, l’attention du tueur se reporta sur l’autre membre qui avait été, décidément, d’un calme de plus serein durant toute la durée de l’opération. Le calme n’avait rien eu à voir avec le silence, Formaggio s’était délibérément étouffé avec son bâillon. Voyant son meilleur ami torturé sous ses yeux, il avait préféré se donner la mort lui-même. La situation avait été quelque peu frustrante pour Prosciutto, mais il s’en accommoda et décida de déposer Formaggio au QG des assassins. La mise en garde calme, cruelle et rapide avait donné un parfait avertissement. Qui voudrait encore renverser le Boss en témoignant de ces meurtres?
Mais il avait finalement été renversé et tous les soupçons de son bras droit se portait vers ce groupe à qui il avait laissé le message.

La dernière volonté de son Boss aurait été de terrasser les traîtres et c’est bien ce qu’il comptait faire. Il pisterait, traquerait et éliminerait les traîtres, se montrant aussi créatif qu’il l’avait été la première fois, avant de redevenir ce qu’il avait toujours été depuis l‘incendie de son village natal, un fantôme.




Test RP: Attendre le feu vert d'un admin



Dernière édition par Abbachio Costello le Mar 27 Juil - 0:19, édité 4 fois
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Message par Invité Mar 20 Juil - 10:28

Haha un schizo, j'croit que c'est une première sur le fofo Razz
Bon je prendrais le temps de lire ta fiche plus tard, mais ça a l'air plutôt pas mal.

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Message par Olog'Haï Mar 20 Juil - 10:42

Attention, la Schizophrénie n'est pas le dédoublement de la personnalité.

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Message par William Morgan Mar 20 Juil - 10:53

Encore un timbré aux personnalités multiples... Décidément ils se reproduisent comme des lapins ceux là. Rien ne vaut pourtant un bon psychopathe 100% naturel.

Au delà de ça le concept du personnage me rappelle quelque chose... J'ai déjà vu ça dans un manga... Spathule m'en avait touché deux mots à l'époque.

Bref, bienvenue parmi nous, bon jeu on l'espère et bon délire aux multiples facettes Monsieur Ying / Yang.
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Message par Abbachio Costello Mar 20 Juil - 17:22

Merci à vous pour l'accueil.

Tout d'abord Olog'Haï a tout à fait raison concernant la schyzophrénie et le dédoublement de personnalité, je corrigerai en temps voulu (la je suis sur l'iPod et c'est pas très pratique). Je me suis mal renseignée sur la maladie mentale et j'ai commis l'erreur bateau qui consiste à confondre les deux.

Sinon William, si le dénomé Spathule t'as parlé de quelque chose de semblable c'est sûrement parce qu'il a lu un très bon manga du nom de Jojo's bizarre adventure où un cas similaire est exposé. Je m'en suis inspirée évidement.
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Message par Enarik Santa Mar 20 Juil - 18:47

Salut salut, petit commentaire comme prévu ^^

La fiche est bien faite de bout en bout, tu as bien mis l'accent sur les explications concernant la spécificité du personnage "double" ce qui rend le tout compréhensible même sans être au fait de ta source d'inspiration dans Jojo's B.A. et c'est déjà une sacrée performance étant donné la complexité de Abba/Prosci.

Pour le reste, attention à quelques fautes d'orthographes en particulier dans la 2è partie de "L'Âge de déraison".

Ce détail mis à part, manquerait juste à mon gout dans l'histoire deux trois justifications ou éclaircissements:

-quel est la position du gamin tout jeune vis à vis de l'absence de ses parents ( veut-il les rencontrer, les haït-il ou autre ). Cela justifie t-il ou intervient-il dans son caractère ultra-introverti ?

-détailler un peu les sentiments qui envahissent Abba dague en main avec le prêtre, je trouve ça un peu léger qu'un gosse de 10 ans prenne instantanément plaisir à découper des bêtes.

-de la même façon, comment en arrive t-il à avoir une curiosité malsaine niveau expérience de médecine, ce ne sont pas les premiers essais auxquels quelqu'un se risquerait en temps normal même en admettant qu'il est soif de connaissance. ( avis personnel là encore )

Voilà en tout cas perso original et prometteur, libre à toi de tenir compte de mes remarques ou non ce ne sont que des impressions très personnelles sur le coup.

Bonne chance pour la suite Smile

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Message par Maître du Jeu au Trésor Mar 20 Juil - 22:47

Bonjour et bienvenue à toi !

Je te laisse poursuivre sous les conseils avisés de Rikrik avant d'entamer la lecture histoire d'avoir un point de vue nouveau sur ta correction ^^

Bon courage !
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Message par Abbachio Costello Lun 26 Juil - 0:38

Modification terminée, c'était pas de tout repos mais ça semble plaire à Enarik Very Happy.
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Message par Monkey D. Luffy Lun 26 Juil - 1:33

Ouaipe je confirme ( trop la flemme de changer de compte désolé Razz ) les explications données m'ont permis de lever les quelques interrogations que j'avais.

Vivement le RP que je te vois à l'action ^^
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Message par Abbachio Costello Lun 26 Juil - 1:35

Il est déjà écrit, dans la tête du moins, il faut que je le couche sur "papier".
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Message par Maître du Jeu de Loi Lun 26 Juil - 15:32

Voyons voir...

Tu t'en tires plutôt bien avec ces deux personnalités, j'ai pas grand chose à redire pour l'instant (Enarik a déjà fait du bon boulot) donc je jugerai une fois que tu auras fait ton test RP.

Tu as le feu vert pour le test.

PS: On avait pas dit que le dédoublement de corps ça ne marchait pas ?
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Message par Abbachio Costello Lun 26 Juil - 18:32

Bonjour et merci pour le commentaire Loi ^^.

Pour ce qui est du dédoublement de corps on ne m'a pas clairement stipulé que c'était interdit, je cite : "2 personnalités dans 2 corps ça me semble très étrange '^^". Mais l'étrange, c'est ce qui constitue One Piece. Après, si le double corps n'est pas permis, je dois avouer que mon personnage tombe à l'eau, car, c'est cette touche d'originalité qui me plaisait. Avoir deux corps sans pour autant abuser des transformations de l'un à l'autre pour me sortir de toutes les situations, mais au moins quelques unes.
De plus, on ne le voit pas très bien puisque j'utilise surtout le nom de Vinegar Prosciutto, mais le personnage principal de mes rp sera Abbachio Costello, le vrai possesseur du corps n'intervenant qu'à travers les communications escargophoniques ou pour aller taper les vilains traîtres.

Donc, pour continuer, j'aimerais savoir si le double corps était permis et, si non, je ne me triturerai plus les méninges pour continuer ce perso.
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Message par Maître du Jeu au Trésor Lun 26 Juil - 18:37

Deux corps c'est impossible car ca ferait deux personnages, c'est ce qui avait été dit il me semble.

Maintenant, soyons imaginatif, tu n'es pas obligée de t'arrêter là dessus, il suffit que le personnage change de look une fois sa personnalité changée et ça donnera l'illusion de 2 corps mais dans un seul ^^
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Message par Abbachio Costello Lun 26 Juil - 19:31

C'est en effet quelque chose qui aurait put être tenté, mais dans ce cas, il faudrait que je modifie la psychologie de Prosciutto ainsi que son histoire, car, à part si le personnage vit dans un univers où le contexte se rapproche du jeu assassin's creed et qu'il peut s'habiller de tel façon que son visage soit toujours caché sans pour autant attirer l'attention de tous les badauts, sinon, chaque personne qui le verrait devrait mourir et ce serait vite l'hécatombe dans les villes où le personnage passe.

Je vais tenter de trouver quelque chose mais ça freine beaucoup le personnage, de même que sa névrose, que j'avais développé dans mon esprit pourtant si sain.
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Message par Maître du Jeu de Loi Lun 26 Juil - 19:58

As tu déjà vu une personne ayant deux personnalités totalement distinctes ? Elle change totalement, tout dans sa façon d'être, de se déplacer, de parler, même de se tenir debout est différent. Si en plus il change de vêtements ! Méconnaissable.

Ensuite non tu ne seras pas obligé de tuer tout le monde. Tu sais ce qu'on dit, on ne se souvient que de détails. Un pansement sur le nez, un beret basque ou une veste en cuir. Mettons qu'Abbachio porte une tenue très... voyante. Un costard cravate grand luxe avec un chapeau type mafia et des lunettes noires mettons. Rajoute à ça qu'il fait un massacre partout où il passe, je te garantis que tout ce que les témoins pourront dire c'est "un grand type en costard a tué tout le monde ! y'avait du sang partout ! partout !"

Qui ferait le lien avec le gentil docteur un peu timbré ?

Et pour freiner sa névrose, je vois pas en quoi le fait de ne pas changer de corps poserait problème. Il lui suffit d'avoir sa "tenue" dans les bagages de son alter-égo. Surtout que si j'ai bien compris, son autre personnalité est son camouflage ultime. Ca le freine en rien dans sa névrose, bien au contraire, il a réussi à se créer une personnalité totalement indépendante, n'est ce pas parfait ?

Enfin je te propose des idées, si tu ne veux pas du tout en entendre parler on pourra toujours s'arranger.
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Message par Abbachio Costello Lun 26 Juil - 20:24

Rahlala, les chrétiens ont tellement raison, le diable est la tentation incarnée.

Je t'avoue que l'idée est bonne, même si le fait de laisser le double corps de côté me tracasse un peu, il va falloir que je retravaille le style des personnages et, surtout, leur phisyque dans ce cas et j'attaquerai le Rp dans un second temps.
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Message par Abbachio Costello Mar 27 Juil - 0:23

Désolé pour le double post, mais je tenais à signaler que les corrections concernant le double corps ont été faites. Je ne sais pas si ça conviendra, mais je laisse ainsi le temps de faire mon test Rp.

J'ai laissé une particularité qui, j'espère, ne sera pas supposée comme un double corps, puisque j'ai gardée le fait que ses yeux changent de couleurs en même temps que sa personnalité. À vous de voir si je peux le garder ou non.
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Message par Maître du Jeu Rebelle Jeu 29 Juil - 21:38

Tout d'abord bienvenu que le forum, j'espère que tu t'y plairas!

Etant donné que la plupart des commentaires ont été faits, il ne me reste qu'une question et je te demande de m'excuser à l'avance si tu as déjà développé cet élément dans ton histoire mais il ne me semble pas ou alors, je l'ai mal compris : Comment est ce que le gamin en est venu à adopter deux personnalités ? Tu dis que c'est par soucis de mieux se dissimuler, ok mais ça resterait un déguisement. Je ne fais pas d'études de médecine ou quoique ce soit dans le genre mais il lui faudrait un sacré traumatisme quand même pour en venir à ça. Du reste, il ne me semble pas que son éducation ait vraiment porté le gamin à tuer de sang froid et surtout, sa propre mère qui, d'après ce que j'ai compris, ne lui a jamais fait de mal. Pour être plus clair, dans l'histoire que tu lui as fait, je ne retrouve pas vraiment de justification au psychopathe qu'il développe par la suite. Ca reste de l'ordre du détail bien sur ^^

Sinon, et bien, on attend le RP, concernant le changement de couleur de ses yeux, ça ne me dérange pas, on est dans OP ^^
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Message par Abbachio Costello Jeu 29 Juil - 22:36

Bonsoir à toi ^^.

Je vais essayer d'être aussi claire que possible dans mes explications.
Pour ce qui est du dédoublement de personnalité, on peut voir que, parfois, cela ne provient pas d'un traumatisme mais d'un besoin d'améliorer sa vie quelle quelle soit. Le seul exemple qui me vient en tête serait Fight Club, le héros ne subit aucun traumatisme, mais il a besoin d'améliorer sa vie, la rendre plus piquante si je puis dire ^^. C'est donc naturellement que Tyler Gordon fait son apparition. Pour Prosciutto, c'est la même, il a besoin de dissimuler son identité à tout un chacun, sa seule hantise serait que quelqu'un découvre qui il est réellement, même si derrière il le tuerait. De fait, Abbachio apparaît et lui propose un camouflage parfait. La particularité après, c'est que Prosciutto sait qu'il a Abbachio sous le coude, mais qu'Abbachio n'en a aucune idée, il se contente de recevoir des coups de fil.
Je viens de relire la question et je vois que tu parles de l'enfant, mais c''est bien à partir du moment où il devient le bras droit du Boss qu'Abbachio fait son apparition, pas avant.

Pour ce qui est de tuer de sang-froid, certes, son éducation ne lui a pas inculqué cela, mais on est en présence d'un enfant particulièrement froid, rien ne l'intéresse, il reste très distant avec son tuteur alors que celui-ci le considère comme son propre fils. Tuer sa mère ne représente pas plus pour lui que de tuer un adorable petit lapin, car, même si elle n'a jamais été violente avec lui, elle ne représente rien à ses yeux, comme tous ceux du village qu'il a croisé et côtoyé peut être cent fois plus que sa mère.

Je ne sais pas si cela répond à tes interrogations, si non, cela ne me dérange absolument pas de reprendre l'histoire pour en modifier les points flous.
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Message par Maître du Jeu Rebelle Jeu 29 Juil - 22:43

Je ne te demandais pas de la modifier forcément, je relevais juste quelques points encore flous pour moi au vu de ce que tu avais écris ^^

Merci en tous cas d'avoir répondu à mes questions, le concept de personnage promet d'être intéressant.

On attend donc ton test RP ^^
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Message par Abbachio Costello Jeu 29 Juil - 23:02

D'accord, je savais pas si cela allait être convaincant, me voilà rassurée Mr Red.

Le test Rp est en cours d'écriture en ce moment même. ^^
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Message par Olog'Haï Ven 30 Juil - 3:09

C'est donc naturellement que Tyler Gordon fait son apparition
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Message par Abbachio Costello Mer 11 Aoû - 19:02

C'est exact Very Happy.

Va savoir pourquoi c'est un " Gordon " qui m'est venu à l'esprit (ça sonne mieux en plus je trouve).
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Message par Abbachio Costello Mer 11 Aoû - 19:31

Abbachio Costello

Vinegar Prosciutto

l'homme

Mario Squalo


Un jour comme un autre



- De 7h à 11h :

C’était un jour comme un autre….

Aujourd’hui, Abbachio Costello s’était réveillé de bonne heure, il était en mission. Ce n’était pas à son habitude de devoir se lever aussi tôt, il préférait sans nul doute se lever vers le début d’après-midi, mais il aimait plus encore se lever pour suivre les ordres de son chef : Le Second. Être sous son aile été quelque chose de prestigieux pour le jeune informateur, après tout, il était le seul à connaître cet homme, les autres ayant été éliminé par les soins du chef. Comme chaque matin, il répéta les mêmes gestes qui devenaient désormais mécaniques : boire un verre de lait pour se donner un coup de fouet, se brosser les dents, se laver et enfiler ses vêtements tout en prenant soin d’emporter des vêtements de rechange dans son sac à dos. Il sortit d’un pas quelconque du bâtiment qu’il occupait ces derniers temps, un ancien hôpital désaffecté dont quelques chambres restaient plus ou moins intacte, le reste du décor pouvant s’adapter parfaitement à un film d’horreur. Les murs étaient recouverts d’une substance inconnue et qu’il ne valait sûrement pas connaître pour son propre bien, certains draps étaient encore tachés de sang sans doute dû à un accouchement étant donné que la trace se trouvait vers le centre du lit et enfin, les rideaux et outils permettant, respectivement, de cacher les patients aux autres et d’ausculter ou d’opérer les patients traînaient çà et là dans les différentes pièces. Mais Abbachio ne croyait pas aux films d’horreur et ce coin était ce qu’il lui fallait, un espace calme ou personne ne penserait à venir le chercher pour peu qu’on le connaisse.

En cette journée ensoleillée, il devait traquer un des assassins responsables de la mort du chef absolu de l’Ufficio Oscuro, un type répondant au nom de Mario Squalo dit le Squale. Il était réputé au sein de sa branche pour être un fanatique de sang. Le genre à devenir cinglé dès le premier sang versé, le genre à ne plus savoir qui sont ses amis et ses ennemis lorsqu’il doit en arriver aux mains, le genre peu commode et surtout, solitaire. Autrement dit, le genre à être une cible de choix pour Prosciutto. D’après le premier assassin contre lequel il avait retourné son métier, chacun des membres de sa branche était en possession d’un fruit du démon, lui, avait eu le pouvoir de rendre toute chose aussi molle que du caoutchouc. Malheureusement, cela ne l’avait pas sauvé et, après avoir prit un coup derrière la nuque et une séance de torture à différents acides, il avait fini par dévoiler tous ses secrets. Le problème, c’est qu’aucun des assassins ne rendaient compte des capacités de son fruit du démon à un autre, le seul indice qu’il avait eu pour le Squale était qu’il avait une affinité avec les liquides. Chose assez paradoxale étant donné que l’eau était l’élément chimique opposé à celui des fruits.

Mais l’heure n’était pas aux sombres pensées mais bel et bien à la localisation de sa cible. Ce n’était pas très difficile, n’ayant plus personne pour le gêner au sein du gang, il avait tombé le masque et terrorisait ou tuer tous ceux qui étaient assez fous pour faire obstacle à ses objectifs pour le moins simplistes : régner en maître sur cette île. Tandis qu’Abbachio s’asseyait à la terrasse d’un café où, il le savait pertinemment, sa cible aimait venir, quelque chose vint perturber la routine des habitants de la ville et surtout de la rue. Des coups de feu retentirent et emplirent la zone de terreur. Deux hommes encapuchonnés couraient en direction du génie du scalpel au son de « On l’a eu ! On l’a eu ! ». Qui avait-il eu? Soudain, l’image de Mario s’était formé dans son esprit. Merde, sa cible. Il courut vers ce qu’il pensait être la provenance des tirs et ses craintes furent fondées, Mario Squalo baignait dans son sang, allongé sur le ventre. Il avait été pris en traître, il n’y avait pas d’autres explications. La panique s’empara soudain d’Abbachio.

*Comment je vais faire maintenant? Si le Lieutenant l’apprend je suis un homme mort…. *

Mais tout à coup, la sonnerie d’un escargophone le tira de sa rêverie. Il se releva et tendit l’oreille pour déterminer la position du son. Une adolescente tenait dans ses mais l’objet des désirs de l’informateur. Il lui arracha des mains :

" Par toutes les putes du diables décroche cet escargophone, l’appel est pour moi ! "

Une personne extérieure à la scène aurait pu voir un jeune homme prit de panique imiter le bruit que fait l’escargophone lorsqu’il sonne, en chercher l’origine, arracher une montre à gousset des mains d’une adolescente qui l’exhibait à ses amies et lui crier dessus en prétextant attendre un appel de cette montre. Mais tout le monde était absorbé par ce qui venait de se produire, un homme venait d’être abattu en plein milieu de la rue et il n’était pas inconnu de tous. Malgré son côté impitoyable, Mario Squalo ne s’en était jamais pris aux innocents, sauf sous l’emprise du sang, évidemment. C’était donc tout à fait normal que la populace s’inquiète de son sort, après tout, il était humain aussi non?

L’adolescente et ses amies fuirent le cinglé qui venait de la voler violemment, mais Abbachio ne s’en préoccupa pas le moins du monde, ce qui l’intéressait, c’était de savoir ce que Le Second avait à lui dire. C’est alors qu’une subtile transformation s’opéra chez le génie du scalpel, chacun de ses yeux avait une couleur différente et il se mettait à parler tout seul prenant par moments une voix plus grave et plus assurée et à d’autres moments, une voix faiblarde et en proie aux doutes, mais encore une fois, personne ne s’en préoccupait.

- " Allo Lieutenant? "

- " Arrête de paniquer Abbachio, tout ne se passe pas exactement comme prévu, mais cela peut toujours nous être favorable. Ne perds pas ton sang-froid, on peut s’occuper de Mario sans être gêné désormais. "

- " Que voulez-vous dire? Je ne peux pas me permettre de l’assassiner au milieu de toutes ces personnes, il y a trop de témoins. "

- " Tu n’as pas saisi ma pensée, calmes toi. Voilà ce que tu dois faire… "

Après cet échange, Abbachio se sentait soulagé et se sentait fort de la confiance que lui accordait le Lieutenant. Il raccrocha la montre à gousset en la refermant et la jeta. D’un pas décidé, il traversa la foule de badaud qui s’était agglutiné autour de la victime comme le ferait des abeilles autour d’une fleur contenant trop de pollens.

- " Écartez-vous, s’il vous plaît ! Écartez-vous, je suis médecin. "

Simplement en prononçant le mot magique " médecin " la foule s’écarta sur son chemin. Il prit soin de tâter le pouls de Mario pour savoir si les attaques avaient été fatales. Il se détendit un peu plus lorsque la pulsation lui parvint.

- " J’aurais besoin d’un volontaire et d’un seul pour transporter cet homme en lieu sûr. "

Un homme dans la trentaine se détacha du groupe pour venir porter secours à Abbachio.

- " J’ai reçu une formation d’aide-soignant, je peux vous aider si vous le souhaitez. "

Parfait. Maintenant, il ne restait plus qu’à apporter sa victime dans sa modeste demeure pour lui soutirer quelques informations et lui soustraire la vie par la même occasion. Portant chacun le Squale par un bras pour le transporter, la route vers l’hôpital semblait plus longue et l’homme n’arrêtait pas de faire des remarques ou poser des questions toutes plus inepte les unes que les autres.

-  N’êtes-vous pas un peu jeune pour pratiquer la médecine?…………. Il faudra l’allonger dès que nous serons arrivé, ce sera plus pratique ainsi de l’opérer……….. Vers quelle destination allons-nous?……….. Ne nous éloignons-nous pas un peu trop de la ville?………………

La route et l’homme mettait les nerfs de l’informateur à fleurs de peau et ce n’était pas choses aisée, mais il ne parvenait pas à supporter les benêts, c’était plus fort que lui. L’hôpital se situait un peu plus loin que la ville et il sentait que l’homme devenait de plus en plus suspicieux à l’égard des talents et du véritable métier d’Abbachio.

Arrivé devant le bâtiment, l’homme ne put s’empêcher de faire la remarque de trop :

- " Comment voulez-vous opérer quelqu’un dans l’ancien centre de soins de RoseMarie? "

La question de trop. D’un geste vif, Abbachio lâcha le Squale et se saisit de son bistouri pour trancher la gorge de l’inconnu. Il n’était pas partisan du meurtre d’innocent et Le Second le réprimanderait sans doute, mais ce qu’il allait faire ici avec Mario Squalo ne devait surtout pas être ébruité.



- De 12h à 16h :

La cible venait d’être mise dans sa chambre, la plus belle qu’Abbachio eu trouvé. Il n’y avait que très peu de moisissures sur les murs et les rideaux et les lits étaient encore en assez bon état. Mario était dans les vapes et le génie du scalpel en profita pour retirer les balles l’ayant perforée. Trois balles en tout était resté dans son corps, la quatrième l’avait seulement égratignée. Heureusement pour lui, elles ne s’étaient pas enfoncées trop profondément dans la chair, permettant ainsi une chirurgie des plus rapide pour l’informateur. Après avoir retiré les balles et recousu les plaies grâce aux fils que contenait sa trousse de secours, il prit le temps d’attacher bien solidement le Squale à son lit grâce aux mêmes fils de suture qui lui avaient servi à refermer les blessures. Cela cisaillerait les poignets et les chevilles de Mario lui intimant de ne pas trop bouger sous peine de souffrir.

Le réveil de la cible fut pour le moins brutal. Il sursauta comme il put et retomba sur son lit derechef, les fils lui lacérant légèrement la chair. Abbachio, qui était en train d’observer la ville, baignant sous les rayons du soleil, à travers la fenêtre se retourna et offrit un sourire à sa proie.

- " Tu dois te demander pourquoi tu es attaché. C'est très simple, en vérité je te le dis, je suis ici pour te tuer. Je t'ai sauvé la vie, non pas parce qu'à mes yeux elle a une importance, mais seulement pour te tuer moi-même et quand je dis moi-même, ce n'est pas exactement le terme adéquat, ce sera plutôt la personne qui s'occupe des traîtres dans ton genre qui viendra te descendre. Sur ce... "

Il sortit de la pièce quelques secondes avant de réapparaître devant Mario. Celui-ci ne comprenait rien à rien, l'homme d'avant lui avait promis la visite du fameux tueur fantôme, celui qui venait exécuter les traîtres au gang, celui qui venait exécuter ceux qui tentaient de découvrir la véritable identité du Boss et il se contentait de revenir bêtement dans la salle. Mais le Squale comprit son erreur en observant plus attentivement. L'homme qui venait d'entrer n'était pas le même, physiquement rien n'avait changé, mais la démarche, l'attitude et surtout cette aura de froideur et d'envie de meurtre, tout cela avait changé. Ainsi donc, le fameux tueur partageait le même corps qu'un simple médecin, pas étonnant que personne ne le connaisse et qu'il ne soit devenu qu'un mythe au sein du gang.

Prosciutto avait prit la place d’Abbachio pour terminer le travail déjà bien entamé par son alter-égo. Il avait suivi ses instructions à la lettre, même le meurtre de l’innocent avait été pris en comte, mais il n’avait pas jugé bon de le mentionner à son lui intérieur. Il se dirigea de sa démarche féline vers le sac qu’Abbachio avait prit à l’occasion pour lui et se changea sous couvert du rideau. Il préférait des vêtements légèrement plus amples, ce qui lui assurait une meilleure mobilité dans ses gestes. Enfilant ses gants, il sortit un flacon contenant le même acide qui avait fait parler son collègue quelques jours plus tôt. Il retourna vers son " cobaye " pour lui offrir le même sourire un peu sadique sur les bords que lui avait offert Abbachio et c‘est avec une voix très calme et froide qu‘il annonça :

- " Révèle-moi tous tes secrets. "

Voir sa proie tenter de se dégager, quitte à se cisailler les poignets et les chevilles, avait le mérite de l’amuser légèrement. Ce qui l’amusa moins, ce fut le sourire carnassier que lui offrit sa victime et le rire hystérique que lui présenta ce dernier le déstabilisa un peu plus. Il n’avait pas pour habitude d’entendre ses victimes se tordre de rire de la sorte avant de mourir dans d’atroces souffrance. Sans doute était-il devenu fou en voyant arriver sa fin. Le Second s’approcha un peu plus du Squale et ressentit une douleur à la joue gauche. Fonçant les sourcils il se caressa la joue de son gant blanc et s’aperçut qu’il venait de se la faire entailler.

*Comment a-t-il pu me faire ça alors qu’il est encore à deux bons mètres de moi? *

Il n’avait rien vu venir et le temps d’examiner sa blessure, Mario Squalo se massait les poignets.

*Comment vient-il de se libérer?*

Le Lieutenant restait calme face à cette inexplicable situation, il se contentait de regarder le Squale sans rien dire. Montrant ses poignets meurtris, la proie haussa les sourcils et pinça les lèvres pour dire silencieusement « c’est con hein ». Puis il prit la parole :

- " Tu vois, si tu m’avais attaché avec du scotch, tu s’rais pas dans la merde ! "

C’est en voyant que le sang ne s’échappait pas des blessures de Mario que les paroles de l’assassin lui revinrent en tête. Mario Squalo avait une certaine affinité avec les liquides. Pouvait-il les contrôler? Sans aucun doute, sinon, comment le sang de ses poignets ne coulerait-il pas sur ses avant-bras?

- " Ah, t’as r’marqué que l’sang s’écoule pas? T’es pas si con que ça après tout. Tout à l’heure j’ai pas eu d’chance, j’suis tombé dans les vapes avant même d’avoir touché l’sol, j’ai pas put empêcher l’écoulement, mais là j’suis bien réveillé et t’es dans la merde. "

L’instinct lui dicta de ne pas rester à portée de Mario plus longtemps sous peine de finir haché. Il jeta la fiole d’acide qu’il tenait dans les mains et sortit de la salle en courant, prenant son sac à dos qui contenait ses lames fétiches au passage. Il n’avait pas perdu son sang-froid, mais il n’avait pas de plan valide pour le moment et la meilleure chose à faire était encore de fuir dans les étages. Le complexe était grand et il avait eu tout le loisir de l’explorer, jamais Mario ne le retrouverait s’il ne le voulait pas.



- De 17h à 18h :

C’est en courant à travers tout l’hôpital avec Mario Squalo sur les talons que Prosciutto se souvint d’un objet, d’une salle, il avait un plan, vieux comme le monde certes, mais terriblement efficace contre quelqu’un comme lui. Pendant ce temps, le Squale cherchait ardemment celui qui avait tenté de lui faire manger les pissenlits par la racine pour lui administrer le même châtiment. Il contrôlait son sang comme un marionnettiste une poupée, à la différence près que l’un des deux était aussi tranchant que le meilleur des aciers. Il hurlait dans les couloirs en découpant des pans de mur grâce à un filet de sang très mince qu’il durcissait à la limite du possible, le rendant ainsi extraordinairement tranchant. Heureusement, le sang qu’il avait perdu et les sutures fraîches ne lui permettaiaient pas de courir ou de bouger trop rapidement, mais le sang était bien plus rapide que lui de toute façon.

- " Où t’es? Hein, t’es où? Tu veux pas venir jouer avec moi? "

Il était loin de la position de Prosciutto et le bruit qu’il s’appliquer à faire lui indiquait son emplacement, quel amateur. Tournant à gauche au détour d’un couloir, il retrouva la salle qu’il cherchait et l’objet de ses convoitises qui se trouvait à l’intérieur. Lorsqu’il poussa la porte, son sourire s’illumina…..

Mario Squalo avait perdu la trace de l’assassin personnel du Boss, mais cela ne l’empêchait pas de s’amuser à le chercher. Savoir qu’une petite souris se cachait dans ce si grand hôpital le rendait heureux. Il prenait son temps, il s’amusait, il cherchait et il le trouverai bien à un moment. Entre deux provocations lancées, le Squale perçut un bruit plus loin.

- " C’est con mon grand, t’as réussi à pas faire de bruit pendant plus d’une heure et c’est maintenant que tu te vautres ou que tu laisses tomber un objet qui m’indique ta présence, c’est vraiment con.

Il pressa le pas, voyant déjà le sang de sa victime peinturlurer les murs du bâtiment. Mais lorsqu’il arrive à l’endroit du son présumé, tout ce qu’il vit fut un sac à dos, le même que celui de sa proie. Il venait de signer son arrêt de mort. Le couloir débouchait sur une chambre, il était forcément caché à l’intérieur. Le sourire victorieux de Mario s’élargit à la vue de sa souris qui sortait de son trou. Il était au centre de la chambre avec ce qui ressemblait à deux poings américains surmontés de lames. Qu’importait ses armes, son sang allait plus vite qu‘une balle. C’est donc d’un pas tranquille qu’il parcourut les quelques mètres qui le séparaient de la porte de la chambre. Il s’arrêta devant, flairant un piège là-dessous, il avait beau être confiant, il valait mieux garder ses distances avec lui, après tout, c’était un assassin lui aussi. Mais voilà qu’il lui fonçait dessus lame en avant avec une légèreté déconcertante, il ne faisait aucun bruit. Sans sourciller, il lança le liquide écarlate à l’assaut, mais sa surprise fut totale lorsque, au lieu de découper la tête de son adversaire, le sang brisa un miroir en mille morceaux.

Le plan avait fonctionné à la perfection, Prosciutto n’était plus qu’à un mètre du Squale et il ne le raterai pas. Le Lieutenant avait récupéré un miroir dans la salle d’opération. Sa taille l’avait d’abord intrigué puis il l’avait laissé ici. Mais c’était l’objet parfait pour tendre un piège à Mario, lui qui fonçait tête baissée dès qu’il voyait sa cible. Le Second avait positionné le miroir à 30 degrés contre le mur, de telle sorte qu’il reflète la chambre où il se trouvait. Ainsi positionné, Mario aurait l’impression de voir Prosciutto en face de lui et pas sur la droite comme il l’était réellement. Le coup s’abattit, direct et sans appel. La tête vola dans les airs avant de retomber lourdement sur le sol laissant une trainée sanguinolente dans son sillage.

Tandis que le corps s’effondrait et que le sang s’échappait à flots Prosciutto se détendit, laissant ses bras retomber. Et un autre de moins.

- " Si t’avais été meilleur t’aurais vu dans le reflet que ma joue droite était entaillé alors que tu as fait subir ce traitement à sa consœur, mais bon t’étais pas très malin non plus. "

Il ramassa son sac et repartit en direction de sa chambre pour ramasser le reste de ses effets personnels.

Abbachio était en dehors de l’hôpital, son sac sur les épaules et ne se souvenait pas de comment il était arrivé ici, ni comment il s’était fait cet entaille à la joue. Il avait sûrement dû s’érafler avec une des branches d’arbuste qui entourait le bâtiment. Il se dirigea en direction de la ville en laissant les deux cadavres à l’intérieur du centre hospitalier RoseMarie sans se retourner.

Oui, c’était un jour comme un autre pour Abbachio Costello…
Abbachio Costello
Abbachio Costello
L'assassin fantôme
L'assassin fantôme


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Message par Kobby Mer 11 Aoû - 21:38

Maître du Jeu Rebelle a écrit:Je ne fais pas d'études de médecine ou quoique ce soit dans le genre mais il lui faudrait un sacré traumatisme quand même pour en venir à ça.

Je fais des études de médecine et, même si je n'ai pas encore étudié la psychiatrie en profondeur, je plussoie Rebelle à ce sujet, le dédoublement de personnalité est un trouble psychique sévère et il ne vient pas à quelqu'un qui se sent mal dans sa peau auquel cas tous les adolescents le subiraient. Fight Club est un film super, néanmoins je ne pense pas que le scénariste ait évoqué une enfance heureuse au gars. Je pense que tu devrais revoir ce point particulièrement, il faut que le psychisme soit acculé pour créer une seconde personnalité si tu vois ce que je veux dire.
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