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Le Gobe-trotter

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Le Gobe-trotter Empty Le Gobe-trotter

Message par Austin Meuler Lun 24 Jan - 21:00

DC de Lafitte

Personnage préparé pour un forum op mort, je le propose donc ici, il n'a jamais été lu par un modérateur ou administrateur, il est donc nouveau. J'ai modifié le codage de la présentation of course.





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PRÉSENTATION

NOM/PRÉNOM - Meuler Austin

AGE - 25

SEXE - homme

RACE & ORIGINES - Humain, East Blue

CAPACITÉ/POUVOIR/ÉQUIPEMENT - Capacité pulmonaire surentrainée, Scaphandrier en acier inoxydable ( foreuse au bras droit, bombonnes de gaz), combat aquatique

LIEU DE COMMENCEMENT -
East Blue

FACTION - Civil

GRADE - Gobe-trotter

OBJECTIF/BUT - Devenir le plus grand Gobe-trotteur du monde en finissant le voyage de son père

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DESCRIPTION PHYSIQUE/MENTALE



Le Gobe-trotter Austin11

Il faudra sonder deux apparences bien distinctes de ce très cher Austin, non pas que cela plaira assurément à l’auditoire mais nous n’avons guère le choix si nous voulons connaître l’homme sur les deux surfaces : l’eau et la terre.

Un pas lourd qui résonne au fond des abysses, la lueur transcendante d’une âme entre les serres de Davy Jones et le grincement funèbre d’une armature aux reflets d’argent. Ce n’est pas le début d’une musique de Brook l’ancien, mais bel et bien l’entame de l’ébauche de Meuler. La houle est telle aux nuages pour le scaphandrier, l’homme au lourd pied marin est un enchevêtrement de boulons et de plaques d’acier savamment assemblés pour respecter les lois troubles de l’hermétisme. La boule crânienne est composée de huit halos lumineux, des phares diffusant la lumière à une vingtaine de mètre du plongeur, eux-mêmes protégés par des épaisses barres d’acier. Le métal rouge de la combinaison recouvre la totalité de l’ensemble, à la seule exception des ceintures en cuir marron permettant de scinder les différentes plaques de métaux entre-elles. Le roulis de la foreuse à sa main droite fait échos aux cliquetis d’acier des doigts engantés de la gauche. L’intérieur sombre n’est qu’un fouillis de barreaux d’acier et de fusibles hydrauliques, la vision n’est que totale lorsque les phares ne sont pas allumés, malheureusement, les fonds marins ne sont guères lumineux et perdre la vision en dévoilant ce qu’il y a à voir est un terrible paradoxe. Ceci n’est point la description de l’homme comme vous l’aurez compris, mais de son enveloppe, le scaphandre du Gobe-trotter.

°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°

Un pas difficile, trop leste pour la terre, plus l’habitude sans doute, mais l’élégance inhabituellement sortie de ce tas de boulons en laisserait plus d’une sur le fessier. Masse noire sur fond blanc, costard et cravate fripés pas l’humidité, seul bémol de l’ensemble pseudo-classieux, les pieds nus qui foulent le sol terrestre. Ses larges pieds ne pouvaient décidemment pas être entravés sur terre comme sur mer. Pourvu de son mètre quatre-vingt et de sa carrure aux muscles fins, la silhouette de l’homme demeure bienveillante mais terriblement inhabituelle. Parlons de sa face tirée par le manque de sommeil et l’adrénaline, la barbe jeunette cache les marques creusées par le sel marin et ses cernes avalent les traits d’humeur d’Austin. Les yeux foncés sont animés d’une flamme de folie en permanence ravivée par l’apprentissage de la vie marine et ses cheveux bruns bouclent dès que l’humidité se fait présente, vous aurez donc compris qu’il frise en permanence.

°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°°.°

Le scaphandre renferme un homme et l’homme renferme une personnalité… débordante. Meuler est un homme que la société jugerait de marginal, elle n’aurait pas tord, c’est net, mais il demeure dans la stricte lignée de ses ancêtres, bouffés par le gout de l’aventure et la soif de voyage. Il prend sa vie d’aventurier comme un devoir familiale et une passion décidemment trop dangereuse pour prendre le risque de dormir, l’adrénaline le maintien bien souvent éveillé en territoire marin mais dès que ses pieds foulent le sol terrestre, il s’endort comme une masse, farouchement décidé à rattraper son devoir nocturne. Il a un sens de l’humour qu’on ne peut percevoir qu’en rares situations désastreuses, mais la tristesse de son expression naturelle ne laissera paraître que de simples rictus masqués par sa barbe juvénile. Il fait preuve d’un optimiste déconcertant en toutes situations, une trop forte confiance en lui, assurément. Il n’est pas un adepte du combat mais il a un gout extrême pour la destruction d’être-vivants, non pas par sadisme, mais par survie. Pourquoi ? Gobe-trotteur ? Il doit se gourer, il y a un « l » entre le « g » et le « o » petit père ? Direction l’histoire pour mettre un coup de meule sur vos questions.




BIOGRAPHIE


~L’Apprenti~

East Blue, Une île quelconque.

Un petit gamin aux cheveux charbons courait partout dans l’établie, les boulons et les rivets roulaient sous les grosses caisses aux damnes du père qui se démenait pour maintenir un semblant d’ordre. Le jeune Austin était âgé de deux années mais il prétendait à bien plus au vu de l’énergie explosive qu’il déployait pour attirer l’attention de son géniteur, mais malgré le brouhaha métallique, il continuait à serrer les tiges d’acier sur sa combinaison de plongeur à grands coups de tournevis. L’homme se frottait ses sourcils broussailleux au fur et à mesure que le scaphandre prenait forme, il suivait les plans griffonnaient sur un papier posé au sol. Une demi-journée avait passé lorsqu’il retira ses lunettes de soudeur pour examiner le travail final, il était conforme en tout point aux schémas maintes fois gommés, lançant un regard à son fils endormi en chien de fusil sur le fauteuil du fond de la pièce, il esquissa un sourire. La grosse pièce de métal sur lequel il avait passé toutes ces nuits, depuis près d’un mois, avait enfin trouvé sa forme finale, non pas fier de lui, il fit rouler la plaque de bois supportant la structure vers une arrière-salle. Esquissant un dernier sourire, il tourna les talons pour aller coucher son fils. Le lendemain, le jeune Meuler ne pouvait plus courir aussi loin qu’avant au sein de sa pièce de jeu, l’arrière-salle était murée et son père s’était endormi la truelle à la main.

Cet épisode ne semble pas être primordial pour la suite de notre histoire mais il fallait commencer par là.
La famille Meuler s’est réduite considérablement depuis que la Miss est morte en donnant la vie au fruit de l’amour. Le père, Denfer Meuler n’est autre que le plus grand spécialiste des monstres marins d’East Blue, malheureusement, il est raillé par l’ensemble de la profession, considéré comme un marginal incapable de monter un dossier précis sur les migrations maritimes. La maisonnette en bord de mer devint vite un vrai dépotoir si bien qu’une nourrisse entra aux services de Mr Meuler pour s’occuper de son fils.
Austin devenait assez capable pour aider son père lors de ces études sur le terrain, ou plutôt sur le marin. Le petit gamin de huit printemps ramait avec hargne à bord de la barque familiale, son père était recouvert de son équipement de plongeur et de sa machine à ultrasons, une fois arrivé assez profondément, il plongeait pour étudier la faune et écarter les monstres trop agressifs à coup d’ultrasons. Le jeune pompé pour alimenter en air son père, relié à la barque par deux gros tuyaux noirs. Il adorait ces moments interminables ponctuaient par les dessins de monstres une fois que son père remonté, il était persuadé que l’homme était invulnérable sous l’eau et rien ne lui avait retiré cette idée depuis que son père plongé. Ils passaient leur journée à plonger et à pomper, leur soirée à référencer la faune d’East Blue et la nuit à noyer leurs rêves dans l’eau de vie pour le géniteur et l’eau de source pour le jeunot. Cependant, le malaise qui vivait le père se sentait et les quinze ans du fils marquèrent une rupture dans les rapports des deux protagonistes.

Austin passait ses nuits à plonger de plus en plus profondément dans l’eau d’East pendant que son père grattait comme un éreinté sur ses paperasses. Il avait développé une apnée exceptionnelle si bien qu’il suivait son père sous l’eau, Denfer n’utilisait plus de tuyaux depuis un bout de temps, il utilisait en permanence des bombonnes de gaz, au contraire d’Austin qui s’entêtait à rester en apnée devant les gros poissons aux dents chaleureuses que son pater dessinait sur des feuilles imperméables. La capacité pulmonaire du jeune Meuler devenait plus grande avec le temps et les multitudes études familiales.

Puis ce fut un jour à marquer d’un granit marin blanc, le spécialiste des faunes était parti durant la nuit sans son fils. Il était beaucoup plus équipé qu’à l’habitude, il s’était descendu une bouteille de rhum toute la soirée en lisant une circulaire envoyée par le comité de la faune des Blues. Visiblement, le travail de l’homme n’était plus aux gouts des hautes sphères et ils allaient le destituer de son titre de spécialiste jugeant que ses travaux tournaient en rond. Austin n’avait pas su lui décocher un mot tant l’atmosphère était lourde, la chaleur de la cheminée n’aidant pas l’alcool à passer plus facilement. Si bien que notre jeune héros avait su anticiper la sortie nocturne pour suivre son père dans son étrange périple. La barque avalait les flots un peu plus à chaque coups de rames, le spécialiste n’avait pas encore revêtu sa combinaison, il riait comme un homme ivre. Austin suivait la coque du bateau sous l’eau, la faible clarté de la lune ne laissait entrevoir que le trouble créé par les rames. Puis le petit navire se stoppa, le jeune prit ses distances et le vieux revêtit son habit de travail. Un large remous activa la surface marine, Denfer venait de plonger avec sa torche mais Austin ne perçu pas l’appareil à ultrasons et c’était terriblement dément, plonger aussi profondément que le faisait son père était trop risqué. Austin se mit à nager aussi vite qu’il le pouvait mais la combinaison descendait inexorablement, lorsque la lampe torche cessa d’éclairer les rocailles et les algues. Le faisceau lumineux se perdait dans la glotte d’un monstrueux bestiau, la sinistre scène était rythmée par le rire métallique du scaphandrier. Un silence puis plus rien, la sinistre noirceur abyssal.


~La Lettre~


Cinq années plus tard.

La vieille Josua cherchait son protégé, il était l’heure du souper mais Austin n’était toujours pas rentré de sa sortie journalière. Le jeune homme passait ses journées à plonger toujours plus profondément dans les eaux troubles d’East. Il s’entrainait sans arrêt en revivant cette scène où il aurait pu sauver son père s’il avait était plus performant sous l’eau, il lui avait fallu beaucoup de dérision pour accepter la perte de son père et un grand sang froid pour ne pas foutre sa main dans la gueule des spécialistes responsable de la prise de risque du grand Meuler. La porte s’ouvrit et c’est la trogne endormie d’Austin qui se présenta, le jeune homme en costard s’excusa mollement, il s’était endormi sur la plage, Josua l’avait compris aux grains de sables logeaient dans sa barbe. Le souper fut rythmé par le monologue habituel de la femme d’entretien, la seconde mère du jeune homme, qui palabrait encore et toujours de choses saugrenues qu’Austin acquiesçait poliment à chaque interpellation. Cependant la monotonie fut pour une fois cassée par un son à la porte, La femme alla ouvrir et revint avec un colis à l’attention du jeune homme, chose surprenante aux vues du manque cruel de connaissance du dit homme. Il alla s’installer devant le feu de cheminé avec un verre de rhum pendant que Josua entreprenait la vaisselle. Le carton était jauni, il était recouvert d’une tripotée de tampons postaux, Meuler ne connaissait pas une seule des villes par lesquelles le colis était passé, ce qui le troubla d’autant. Arrachant le scellé, il ouvrit la boite mystère et son visage se crispa la première fois depuis des années. Une lettre siégeait au-dessus d’un livre avec l’appellation « Austin Meuler » en écriture fine et élancée, celle de son père. Il saisit la lettre, dévoilant le titre de l’ouvrage « Le Gobe-trotter », marquant un temps d’arrêt, ses doigts défripèrent le papier jauni.
« Fils,

Je sais que tu dois blêmir en lisant ces premiers mots, mais comprends moi, cela ne pouvait en être autrement. Tu dois être devenu un beau jeune homme avec le temps ! J’espère que tu n’as pas plongé dans l’alcool, mais je suis certain que tu as un verre de rhum à la main en lisant ces quelques mots ! Tu as remarqué la provenance de cette lettre, enfin tu as dû voir qu’elle venait de loin, Shabondy pour être précis. Tu te demandes assurément ce que je peux bien foutre là-bas, c’est un archipel de la route de tout les périls, mais là encore ça ne te dis rien j’imagine ? On va y aller progressivement fils.

Comment j’ai pu survivre ? Je sais parfaitement que tu me suivais cette nuit là, il le fallait, tu devais me voir partir pour devenir celui que tu es devenu, je te connais parfaitement car tu es aussi fou que moi. Cette nuit là, je ne suis pas mort mais j’ai revécu, j’ai tenté un rêve qui me tenait à cœur et je l’ai réussi. Tu sais que les reconnaissances au sein de mon métier n’étaient pas des plus élogieuses et j’avais fais le tour d’East-Blue. Je suis donc parti plus loin, ma première leçon : ne mets pas de limites à tes projets. Mon projet était le plus loufoque que j’avais imaginé : voyager dans le bide des monstres marins, devenir le plus grand des Gobe-Trotteurs ! Dément ? Assurément, fils.

Vois-tu le carnet ? C’est l’ensemble de mes études sur les créatures marines qui m’ont hébergé en leur sein, les îles que j’ai pu traverser, les dangers et les mystères de ce monde. Je n’ai pas mis l’ensemble de mes découvertes, je te laisserais faire ta propre expérience mais sache d’hors-et-déjà que le voyage est hautement dangereux. Ce carnet est ton laissé passer vers la survie, la route de tout les périls abrite de véritables monstres, sur terre comme sur mer, reste le plus discret possible. Les pirates ne manqueront pas de te prendre le peu de trésors que tu choisiras de garder et les rois des mers t’arracheront le plus précieux de tes biens, je parle évidemment de ta vie.

Mais trêve de mises en gardes, cette lettre t’annonce purement est simplement mon trépas. Enfin, en théorie, je vais entreprendre ma traversée vers le nouveau monde, j’ai peur de ne pas trouver d’hôte marin dont je serais capable de me défaire. Mon équipement a beaucoup subis et je ne maitrise pas les pouvoirs des hommes puissants, ceux qui peuvent dompter les rois des mers. Je pars rallier le nouveau monde avec un groupe de pirates, je n’ai guère confiance en eux mais ils n’ont plus rien à me dépouiller. J’ai réuni l’ensemble de mes trésors sur cet archipel, enfin dans ses eaux. C’est un Gobant, tu comprendras en lisant le carnet, c’est un type de monstre marin sectaire dont je me suis souvent servi pour faire le plein de richesses. Si tu entreprends ce voyage sur mes traces, je me suis dis qu’il te fallait un premier but : retrouve ton héritage !

Je suis surement un vieux fou pour t’annoncer ma survie puis ma mort dans la même lettre, mais saches que c’est avec le sourire que j’ai pris ma plume et avec le rire que je vais la rendre.

Fils, ce carnet est ton lien le plus précieux entre le ciel et la terre, entre moi et toi, cependant il te manque le second lien : terre et mer. J’ai condamné un scaphandrier derrière un mur de briques dans mon atelier, c’est le fruit de beaucoup de travaux à l’époque où ce projet me mangeait l’esprit avec que l’enterre. Je suis certain que tu sauras en faire bonne utilisation.

La mer m’appelle et, avec elle, la fin de ma route. Je crois que ta mère serait fière de moi, je le suis de toi. Ne parle pas de toutes ces choses à Josuaa, mais je sais que tu ne l’aurais pas fait, hein ? Sacré toi …

Ton père, Gobe-Trotteur et esprit libre. »


Le regard perdu dans l’âtre, Austin riait aux éclats tel un dément ivre de folie. Il lança son verre dans les flammes, son visage brillait d’un tout autre éclat. Ses pieds nus quittaient les lattes du parquet pour rencontrer les dalles de l’atelier, il prit la masse poussiéreuse et l’emplâtra dans le mur de briques dévoilant une armure aquatique aux allures démesurées. Un rictus de malice aux coins des lèvres, il enjamba les gravas pour débarrasser le casque de ses impuretés, un morceau de papier tomba à terre.
Spoiler:

« Gobe-trotter, voilà donc le destin que tu m’as choisi père ? Ahaha… Excellent … »

~Départ~

Il aura fallu une année entière à Austin pour être à même de se servir de l’invention de son père, la lourde carcasse de cent kilos n’était décidemment pas maniable sur terre avec le corps qu’il avait. Au terme d’un entrainement surhumain, il maitrisa son costume sur terre comme sur mer. Son physique avait changé, devenu méconnaissable pour la vieille Josua, le jeune homme frivole et passionné avait rajouté l’obstination et la puissance physique à ses caractéristiques.

Durant son long entrainement, il dévorait le livret de son père pour en saisir les malices et les mystères. Il était ordonné sous la forme de chapitres « îles, armes, pouvoirs, monstres, rois des mers, études, notes … », une véritable mine d’or pour qui voulait savoir. Le chapitre sur les monstres marins était le plus complet de l’ouvrage, notamment un passage que l’on citera et qui demeurera comme le plus fiable de tous.

« Les monstres marins sont les parfaits transporteurs des Gobe-trotters, cependant la prudence reste de mise et le hasard de la destination est légion. Voici la liste des différents types rencontrés afin d’éviter les dangers et limiter les écarts de trajets :

Les Gobants : Parfaits transporteurs bourrés de richesses et très vastes, transport sur courte distance car population casanière, digestion lente.

Les Mordants : Bons transporteurs, très rapide et longue distance, dangereux si l’on ne rentre pas dans le bon timing (dents terribles !), Nomade solitaire, digestion lente.

Les Frappants : Mauvais transporteurs car trop remuant, très dangereux, frappe sa proie avant de gober, digestion rapide, casanier.

Les Filants : Petit transporteurs, aucunes richesses, digestion moyenne, ultra-rapide et population nomades de groupe.

Les Gonflants : Trop petits pour transports, menaçant, fuir ou combattre. »


Le second chapitre traitait de l’entrée et la sortie.

« Il est rare d’être confronter à des soucis pour rentrer dans le bide d’un monstre, faire le mort ou faire le vivant, au final on s’en tire pas mal, le timing pour rentrer est par contre primordial, si l’on reste coincer entre l’eau et la sécurité du bide, c’est la mort assurée. Ne jamais retirer le scaphandrier une fois à l’intérieur, la digestion commence très vite. La plupart des monstres ont une montagne de richesses qu’ils ne digèrent pas, l’organique ne survit pas alors que le matériel a une bonne durée de vie, il faut d’ailleurs ne pas se montrer trop gourmant car il faut penser à sortir par la suite.

La sortie ne doit pas être faite au jugé, il est évident que l’on ne sait pas si l’on est prêt d’une île ou encore si l’on avance dans la bonne destination. La route de tous les périls n’aide pas, aucun repère et aucune trajectoire fiable pour l’homme. Pour l’Homme ? Oui, mais l’animal nomade possède l’instinct du voyageur, impossible de connaitre l’endroit où l’on est mais une chose demeure certaine : on avance. En effet, la majorité de la population marine de la route de tous les périls migre vers le pôle supérieur, mouvement qu’il m’a été permis d’observer au fur et à mesure de mes voyages à l’aveugle. Les monstres grandissent et se durcissent à une vitesse folle dès leurs maturité, encore et encore, les plus faibles se font engloutir et les plus grands continuent vers le nouveau monde. Les monstres se reproduisent à proximité d’îles, ils rentrent alors en « fraicheur » et il devient impossible de tenir debout en son sein, cela marque le temps de la sortie.
Pour cela, trois manières :

La naturelle est celle que j’ai le plus utilisé, ce n’est guère la plus propre mais la moins risqué assurément. De plus, l’odeur permet d’être immuniser suffisamment de temps des autres créatures.

La mutilante est celle que j’utilise lorsque le temps ne me permet pas d’attendre d’être digéré, cela mutile mortellement la créature, elle consiste à meuler dans la chaire pour se faire son propre chemin. La créature bouge beaucoup et le sang attirera les mordant et gonflants.

La pas-de-bol tombe comme une bouse sur le coin de l’œil, je crois que me retrouver dans le bide d’un monstre, qui a mangé le monstre dans lequel je séjournais, était la situation la plus cocasse de ma vie. Il faut être suffisamment vif pour sortir lorsque le bide de notre hôte se fait éventrer. Pas-de-bol sinon. »


Austin avait appliqué à la lettre chacun des mots de son père et il avait opéré son premier voyage, la peur au ventre et le rire aux lèvres. Une rangée de dents dantesques avait troublé la quiétude océanique, le gantelet du scaphandrier s'était resserré dans un grincement sinistre. Sans un mot, sans un geste, mais avec un noeud terrible au bide, la masse noire et funeste engloba l'intrépide jeune homme. Le courant se fit plus fort, la chaleur plus intense et l'esprit de la mort l'avait troublé pour la première fois. Il avait beau être arrogant à ses heures et terriblement passionné, vivre ses rêves et les narrer, il y a une libération d'adrénaline des plus différentes. Le sarcasme habituel du Gobe-trotter était devenu des plus inexistant, recroquevillé comme une bête apeurée, il pensait à son père et à son rire funèbre, le dernier, celui d'un fou. L'intérieur de la bête n'était pas très cossue, cela manquait un tantinet de fraîcheur, un odeur putride embaumait l'air, pénétrant jusqu'aux couches successives de métaux du scaphandrier. Le large faisceau animait l'ombre d'Austin sur le système d'arrêtes de l'antre estomaqué. Après avoir zoné dans l’enchevêtrement de galeries digestives, manifestement c'était un Gobant référencé dans le manuel de son père, il se posa bredouille sur l'épave d'un galion de la Marine. Les vapeurs du bois en décomposition lui aurait fait tourné la tête s'il n'était pas couvert des pieds à la trogne. La période de "fraîcheur" du monstre ne tarda pas à arriver, le liquide digestif oscilla de tribord à bâbord dangereusement, cette agitation marqua le début de la fin. D'une torsion du poignée, la meuleuse s'activa, le roulis impétueux transperça la couche de chaire, le liquide aidant, les secondes épaisseurs ne posèrent foutrement pas de problème à se faire transpercer. La peau percée du Gobant ouvra une brèche aqueuse synonyme de liberté, un large sourire de soulagement se figea longuement pour la première fois depuis une longue année. Il resta coincer sur une île d’East-Blue durant plus de trois mois avant de trouver une navette gouvernementale prête à faire un détour pour qu’il retourne sur son île. Cette première expérience dans le ventre d’un Gobant avait mis en avant le défaut majoritaire de la combinaison : le mouvement en dehors de l’animal. En effet, une fois gobé, cela s’avérait simple, il suffisait de marcher, mais dans l’eau, la combinaison ne permettait pas de nager, juste couler jusqu’à 1 000 mètre, ensuite cela impliquerait la mort. Il suffisait d’attendre de se faire gober avant le terme du voyage, hélas, une fois de nouveau dehors, il fallait espérer toucher vite fond et marcher. Austin rajouta alors une molette de libération d’oxygène, même s’il perdait en temps de survie, il pouvait se projeter à très grande vitesse selon le réglage dans la direction de son choix. Les voyages d’entrainement se multiplièrent durant quatre années, il fit le tour de l'ensemble des bêtes, du Gobant aux Gonflants, la meuleuse en avant et pleins gaz devants. Jusqu’au jour où Austin décida qu’il était près. Agé de 20 ans, Calm Belt appelait le Gobe-trotter à prendre le bide.


Dernière édition par Austin Meuler le Lun 31 Jan - 17:54, édité 1 fois
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Message par Maîtresse du Jeu de l'Or Mar 25 Jan - 15:56

Bonjour,

belle fiche pour le moment. L'idée est très originale, et tu te donnes les moyens de rendre l'histoire agréable à la lecture. Attention à l'orthographe on sent un peu de laisser-aller par endroits. Les descriptions mériteraient d'être un peu plus approfondies, on en découvre ( devine ? ) plus sur la psychologie de ton personnage à la lecture de son histoire que de ladite description.

Tu peux passer à ton test RP, bonne chance.
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Message par Austin Meuler Jeu 27 Jan - 2:24

Spoiler:

La plume se rendormit dans son encrier, la main d’Austin replaça une mèche qui menaçait de tomber devant ses yeux. Le clair de lune se reflétait sur l’écume comme un appel à prendre le large, un souffle marin susurrait à l’oreille des aventuriers. Son équipement de scaphandrier était chargé à bord du vieux rafiot du Père Rivio, l’ancien curé du village d’Austin. C’était un passionné d’explorations sous-marines qui avait beaucoup assisté Denfer dans ses recherches, un ami fidèle qui n’avait pas su dire non quand le jeune homme lui avait demandé de l’amener aux bords de Belt. Un ecclésiastique aux longs cheveux blancs et aux guibolles finement campées, en appuie sur une canne assurément aussi vieille que lui. Les pieds de l’aventurier foulèrent les lattes de bois pourri du « pourfendeur de Dieu », terrible tas de bois flottants propriété de l’église.

« Il fait frisquet n’est-il pas ? Ce petit vent me rappelle l’époque où votre père et moi griffonnions sur des papelards comme des éreintés chaque fois que nous découvrions une nouvelle espèce ! Encore que... »

Le vieux bavard regardait le visage d’Austin, le jeune homme feignait de sourire poliment mais la flamme au fond de ses grands yeux trompait son état. Il se damnait l’esprit tant il était excité, il allait à la rencontre de son père, son grand voyage initiatique sur les traces du plus grand des voyageurs. Le vieil homme lisait au fond du regard de son jeune ami, il lâcha un large sourire comme pour conclure silencieusement l’histoire qu’il avait entamé.

« Je… Merci Père Rivio pour … »

« Pas de ça entre nous mon Fils, bordel de Dieu ! Héhéhé »

La trogne ridée s’anima de petits haussements d’épaules saccadés, puis se ressaisissant il donna deux coups de canne sur le bois du ponton, manquant de perforer l’embarcation et Austin détacha les bouts d’amarrages. Le bois craqua longuement, la voile se borda fébrilement, puis se fut le tour du foc et enfin la houle s’empara de l’ensemble. Un semblant de rictus nostalgique se figea quelques instants lorsque le jeune homme s’accouda à la rampe, les yeux figés sur la maisonnette de son enfance qui diminuait à mesure que l’obscurité grandissait.

« Nostalgique gamin ? »

« Hum … Je me disais juste que j’avais oublié de prendre de quoi manger … »

« Aussi tête en l’air et insatiable que ton père ! En plus des provisions pour ma trogne, j’ai deux ou trois paquets de biscottes à la gloire de notre saint père dans la cabine »

« C’est la folie… »

************

La petite embarcation filait à travers les vaguelettes de Blue, le temps était plus clément que la météo fluviale avait pu l’annoncer. Le Père s’appuyait lascivement sur le gouvernail, il débitait trente mots à la seconde en pointant de temps à autres les bateaux aux alentours avec sa canne. Austin bricolait de petites réparations de fortunes avec les moyens du bord. Le soleil était presque à son zénith, plusieurs bâtiments transperçaient l’horizon avec leurs majestueux mâts, ou du moins, plus imposants que celui du « pourfendeur ». Ils traçaient tout deux plein sud avec l’espoir d’arriver sans embûches vers la limite de Belt. C’est par là où, selon les dires du livre de son père, que "le véritable voyage débutera, le vent deviendra nul et les monstres titanesques’’. A la simple lecture de ses mots, il avait senti son bide se resserrer et sa face s’était illuminée, Le religieux avait observé l’état d’excitation de son passager avec le regard posé d’un homme d’église, il s’était contenté de sourire et d’objecter qu’Austin et lui n’était décidément plus du même bord. L’un se transcendait par la parole divine et l’autre s’aliénait du frisson dantesque. Il y a trente ans, à l’époque des débuts de Meuler père, les choses étaient différentes dans l’esprit du vieux bonhomme, plus impulsif et passionné, peut être moins réfléchis… Mais que Diable !

« Dis donc gamin, si j’en crois le phare là-bas, on est à un mille marin du but, tu devrais t’enfiler un bout de pain et ton scaphandre »

L’imposante tour était entourée de monstrueux rocs d’où les vagues devaient se projeter quand le vent se manifestait. Selon les dires, le grand phare marquait le hiatus entre le monde des petits et celui de l’opulence. Déboutonnant sa chemise blanche, Austin se releva en inspirant profondément. Le costard fripé par l’humidité et blanchis par les multiples grains de sels qui se logeaient dans chaque pli de l’ensemble donnait une fausse prestance au personnage.

« Vous savez bien qu’il ne faut pas manger avant de plonger mon Père … »

« Où avais-je la tête ! Héhéhé »

Le vieux bonhomme fourra son index dans la bouche et le ressortit fièrement pour juger de l’orientation du vent, la voile faseillait trompant le loup de mer qui entamait un près en destination du grand phare. Il fronça les sourcils et poussa le gouvernail pour abattre et ainsi trouver une meilleure prise au vent, la voile cessa d’osciller et se borda de nouveau, pour la fierté de son capitaine. Austin quant à lui avait redressé le squelette du scaphandrier et entamait d’y pénétrer en son sein. Le jeune homme prenait appui sur le col pour s’engouffrer dans la combinaison d’acier, il passa ses longues jambes puis les bras. La sensation était toujours la même, un froid meurtrier qui traversait le tissu de ses habits, une de ses mains à droite gérant la meuleuse depuis un rivet de contrôle et un gantelet protégeant sa main à gauche. Il se sentait lourd et imposant, une entrave terrible à sa liberté de mouvement tel une machine aux mouvements gauches et au design gras, cependant bien fou celui qui s’égarerait à penser que l’habit fait le moine.

« T’as pris les gâteaux ? »

Le Père agitait les paquets de biscottes, hantise de ceux qui avaient un semblant de papilles gustatives, avec le large sourire de l’homme qui pense à tout. Austin afficha un léger sourire et, jugeant qu’une réponse serait inutile, il ouvrit la trappe ventrale pour les engouffrer à l’abri de l’humidité. La trappe était déjà occupée par le livret de son père et une gourde d’eau saine, cela pouvait paraître très juste pour un tel périple, mais Austin avait jugé qu’il était inutile de s’embourber avec de l’inutile. Le casque reposait en berne sur les bombonnes d’oxygènes, il suffisait de pencher son buste pour fermer le tout, l’équipement se suffisait à un seul homme.

Le phare avait été laissé à tribord, le fossé des deux mondes était à deux doigts d’être franchis. Le vieil homme passa le foc à l’inverse de la grande voile et poussa le gouvernail à son maximum. La bôme effectua un large balayage et se logea mollement à bâbord, le pourfendeur était à l’arrêt, livré au seul courant marin.

« Je n’ai pas perdu la main ! Héhé »

Bloquant le gouvernail, le bon vieux Père avançait en pointant le jeune scaphandrier de sa canne.

« Mon Fils, Dieu t’as informé de ton destin, à toi de suivre son tracé… Mais pour l’amour du ciel, ne t’amuses pas à sortir du droit chemin, ce n’est pas des brebis égarées là-dessous ! »

« Vous me connaissez mon père … »

« Héhé… Plus je te regarde et plus je vois ton père Austin… Allez à l’eau, quoique tu décides d’y faire ! Mais si tu veux mon avis, tu vas être un gros appât à Monstre ! Mais si Dieu le veut … Héhé »

« C’est que l’Homme le peut … »

C’était une formule que son père et le religieux utilisaient souvent et qu’Austin ne comprenait pas à l’époque, aujourd’hui, elle prenait tout son sens. Rabattant d’un coup de tête le casque sur sa combinaison, l’ensemble devint complètement hermétique. Il se pencha par-dessus la balustrade, l’écume se formait contre la coque du navire en formant de petits tourbillons. Il passa la meuleuse en-dehors du navire et après un solennel signe de main, un merci et un adieu, il passa par-dessus bord.

« Si j’avais trente ans de moins… Héhé… »

Le vieil Homme fixa le ciel longuement avant de retourner en boitant vers son gouvernail, un souffle semblant signifier « Amen » s’échappa de ses lèvres gercées.

L’eau était beaucoup plus trouble qu’à l’habitude et Austin ne voyait goutte, il passa sa main enganté derrière son casque pour en tourner une molette, quatre phares projetèrent une couche lumineuse à une dizaine de mètres, privant le jeune homme d’une vision latérale. Désavantage cruel de sa combinaison, à mesure qu’il allumait ses phares, il réduisait son champs de vision tout en augmentant la portée, c’est pourquoi il laissait toujours les deux phares centraux éteints. Austin avait l'esprit terriblement libre, il n'avait plus de passé à rattraper, un avenir des plus incertains et un présent osé, bouffé par le danger. Un sifflement sinistre s’immisça dans la carlingue de métal, il cherchait le meilleur des réglages pour gérer son oxygène. Une grosse bulle s'échappa des bombonnes, il était déjà rentré en plénitude, il ralentissait son rythme cardiaque pour tirer le moins possible d’air tout en attendant qu’il touche le sol ou encore qu’un envoyé de Jones vienne l’aider à commencer son voyage initiatique. Une bride du passé frappa son esprit, celui d'un professeur fou, celui d'un passionné déluré, celui d'un père aimant... Et le sourire d'un fils à l'avenir riant.


*J’aurais vraiment dû prendre un sandwich… C’est pour ceux qui sont baptisé ces biscuits là…*


Dernière édition par Austin Meuler le Lun 31 Jan - 18:09, édité 1 fois
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Message par Serviteur du Jeu Thème Lun 31 Jan - 0:24

Eh bien, on s'attendait à de la qualité de ta part et on la trouve. Les premières choses qui frappent : un style agréable avec un vocabulaire oscillant entre le soutenu et le familier sans sombrer dans le chaos. Cela reste une prouesse technique impressionnante, de même que l'est un vocabulaire riche en ce qui concerne la navigation, par contre un peu moins en ce qui concerne la plongée, j'imagine qu'un peu de recherche sur le sujet pourrait t'aider à perfectionner un style qui n'en a presque aucunement besoin. L'histoire est bien écrite, le personnage original et attachant, son côté passionné pique la curiosité.

Passons aux points négatifs : les descriptions, elles restent assez sommaires et parfois trop "étrangères" au personnage. L'introspection est quasi-absente (surtout dans le test RP où seul le point de vue du Père Rivio permet de percevoir les sentiments du garçon). Ceci est assez dommage, surtout pour un personnage aussi passionné et fiévreux, le rendu RP reste assez en deçà de ce que l'on attend, on aurait voulu sentir l'excitation qui le prenait lors de son immersion au moins. Enfin, en ce qui concerne les descriptions physiques et morales, elles mériteraient d'être approfondies en décrivant les mimiques du personnage, sa façon de parler, sa façon de prendre contact avec les gens (ou de ne pas le faire, au choix), ses défauts...

Il y aussi la syntaxe avec, rarement, des choix discutables de formulation tels que : "il lui avait fallu beaucoup de dérision pour accepter la perte de son père" et quelques autres que je n'arrive plus à trouver la fatigue me gênant. L'orthographe est aussi souvent un souci avec des fautes récurrentes entre le participe passé et l'infinitif, mais aussi des fautes assez troublantes, car en opposition avec un style recherché, comme "nourrisse" à la place de "nourrice"

Dernière mention des ellipses : il a passé un an pour apprendre à utiliser la combinaison et dix à voyager, c'est cela ? Cela donc fait onze ans qu'il utilise quotidiennement son scaphandre, ne devrait-il pas être plus à l'aise dedans ? Cela reste une question purement subjective à laquelle j'apprécierais que tu répondes. Cependant, tu aurais pu enrichir ces ellipses, surtout la seconde, d'une ou deux anecdotes ou au moins un bref sommaire pour se faire une idée de par où ton personnage est passé et pour mieux fixer sa conception (ses rencontres, ses frayeurs, les connaissances en plus de ce qui lui a donné son père).

En gros, une relecture pour effacer de vilaines fautes qui nuisent à l'ensemble et un approfondissement des descriptions feraient de ta présentation quelque chose d'une qualité rare. J'attendrai donc ton signal pour rendre le jugement final en te souhaitant bon courage.
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Message par Lafitte Lun 31 Jan - 0:42

Hop !


Merci de cette lecture.

Je suis le fainéant des descriptions et je n'attache malheureusement que peu d'importances aux personnages principaux, préférant utiliser les secondaires en vecteurs, malheureusement cela se ressent. Néanmoins, je vais changer le coups des ellipses, c'est un peu du foutage de gueule de ma part. Le coup des dix ans, c'est une erreur d'espace temps, j'vais changer ça (ii devrait être âgé de 20 ans dans mon esprit quand il reçoit la combinaison, un an de maîtrise puis 4 ans d'entrainement, chose que je vais narrer, là j'me suis juste planté).

La plongé, je passe un brevet de natation en ce moment, le vocabulaire va venir, j'suis plus calé en voile pour le moment mais j'vais bientôt avoir le vécu du plongeur si je puis dire. L'orthographe, on fait avec au fur et à mesure des relectures, on verra. J'te revois cela demain. Merci.
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Message par Austin Meuler Lun 31 Jan - 18:15

hop !

Alors les fautes, j'ai relu, j'tavouerais que j'ai pas vu grand chose, les fautes que l'on fait soi-même hein ... Donc Bonpatron n'étant pas des plus honorables, je laisse en plan pour cela, cadeau pour la notation (sur un parpaing, j'en laisse passer ..)

Descriptions rajoutées dans l'histoire sur sa première fois si je puis dire et deux trois lignes sur sa plongée dans le rp. Je ne souhaite pas être plus interne que ça, on s’éloigne plus facilement du personnage pour se focaliser sur l'ambiance, c'est discutable hein.

Hop, envoyé c'est posté
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Message par Serviteur du Jeu Thème Dim 6 Fév - 16:07

Lecture promise, lecture due ; je viens d'achever la seconde lecture de ta présentation. Il faut être honnête, je suis un peu déçu du fait que tu n'aies pas changé grand chose, presque rien. Cependant, c'est le choix du joueur qui prime, mes remarques ne sont que conseils.

J'hésite entre le niveau 5 et le niveau 6 et ce pour plusieurs raisons : le style est là, mais les maladresses sont nombreuses, le vocabulaire est riche, mais le nombre de fautes n'est pas négligeable, l'histoire est prenante, mais on a du mal à se rendre compte du sentiment du personnage.

Ton choix de laisser les personnages secondaires être les vecteurs de ses impressions est assez inapproprié vu que tu le joues plutôt en solo.
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Message par Maîtresse du Jeu de l'Or Lun 7 Fév - 0:41

Bonsoir, voilà le second avis requis pour valider ta fiche.

Tout ou presque a déjà été dit. On peut comprendre que tu n'aies pas envie de peaufiner ta fiche dans ses moindres détails par volonté de RP plus vite; c'est un peu dommage pour le lecteur mais on ne remettra pas pour autant en doute la qualité de ta plume. Niveau 6 donc au final.

Les chemins du RP te sont ouverts, bons voyages dans les fonds marins et les monstres qu'ils recèlent.
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Message par Lafitte Lun 7 Fév - 12:40

Merci à vous et bien vu Or ( rp viiite)

Vu avec Haz' : je me fais gober par un Mordant direction l'île du davy back fight de luffy.


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