Grisom Resyl, Swift Hammers

~°Pirates°~

~°Présentation du Joueur°~

Prénom: Jean
Age: 20 ans
Ce que vous aimez: Les mangas en général, les livres (en particulier fantastiques), le sport,...
Ce que vous n'aimez pas: Avoir faim
Première Impression: Sympa au premier abord et même si il m'a fallut quelques minutes pour m'y retrouver l'organisation est structurée et complète.
Autres :
Comment avez vous connu ce forum?: Par la page OPS en cherchant un scan qui n'était pas présent

~°Présentation du Personnage°~

Nom: Resyl
Prénom: Grisom
Surnom: Swift Hammers
Age: 22 ans
Description Psychologique ( 5 lignes minimum ):
Grisom Resyl est un jeune homme au tempérament calme et enjoué, il est généralement de bonne humeur et essaye de toujours voir le bon coté des choses, pour lui un verre est toujours à moitié plein. Cette vision des choses est d’une grande aide pour ses amis lors des périodes difficiles, c’est une personne sur laquelle les autres peuvent compter quels que soient leurs problèmes car il a un sens de l’amitié très développé.
C’est également un bon vivant, il a le gout de la bonne chère et de la bonne bière, ce qui lui permet de tisser des liens particuliers mais néanmoins solides avec n’importe quel pilier de taverne, il n’a pas d’idées préconçues et ne juge personne avant de lui avoir personnellement parlé. Cette habitude à aller vers les autres lui a permis d’acquérir de grandes connaissances mais dans de nombreux domaines bien distincts comme l’équitation, la navigation, la fabrication de cordes, le chant, la poésie et surtout l’histoire, car les vieux marins profitant d’une bière bien fraiche ont tendance à raconter leur jeunesse à tout qui est prêt à les écouter, et Grisom est un auditeur particulièrement respectueux. A cause des nombreuses histoires de pirates et de marins qu’il a eu l’occasion d’entendre, son gout pour la liberté s’est exacerbé, il ne supporte que difficilement la contrainte et les règlements, il profite des moindres occasions pour disparaître et vagabonder là où son cœur le porte.
Si Grisom avait eu une vie normale ce penchant pour la liberté l’aurait sans doute poussé sur les mers, avec une détermination moindre cependant, mais il n’y avait pas que cela. Il portait un fardeau qu’il s’était lui-même imposé et qu’il était destiné à porter jusqu’au bout, car bien qu’il ne soit pas rancunier quand on lui avait fait du tort, il ne pouvait pardonner à ceux qui avaient fait du mal à ses proches. C’est poussé par un sentiment de liberté et de haine que Grisom avait décidé de prendre la mer.
Description Physique ( 5 lignes minimum ):
C'est un jeune homme de taille un peu en dessous de la moyenne qui compense cette perte par une musculature appréciable. Il possède de larges épaules ainsi que des bras musclés, ses mains bien que courtes et larges sont à la fois habiles et puissantes. Depuis son plus jeune âge il porte des cheveux courts et gris, chose inhabituelle sur son ile. Ses yeux, de la même couleur que ses cheveux, tranchent avec la peau bronzée où on peut apercevoir les marques d'une vie active. Il a un visage jovial où se dessine souvent un sourire, "une bonne bouille" comme disent les grands-mères du village, et il a la chance d’avoir encore toutes ses dents. Il a une démarche assurée mais il adore se déplacer furtivement et surprendre ses amirs lorsqu'ils ne s'y attendent pas.
Il porte généralement le tablier en cuir de forgeron mais quand il ne travaille pas il se ballade dans une tunique noire et un pantalon en laine robuste, ses chausses en cuir souple ont connu de nombreux sentiers et il lui serait impossible de se rappeler l’histoire de toutes les marques qui s’y trouvent.
Pouvoir/capacité : Il manie les armes avec une certaine aisance sans pour autant être un virtuose, il a une préférence pour les masses et les haches, il possède aussi un bon sens de l'orientation et sait se débrouiller seul dans la nature. C'est un forgeron compétent dans tout ce qui est outillage et machinerie, il ne maitrise pas bien la fabrication d'armes mais il veut se renseigner autant que possible auprès des différents artisans qu'il rencontrera.
Grade : (aucun pour le moment)
Nom de l'équipage : (aucun équipage pour le moment)
Fonction au sein de l'équipage : (aucun pour le moment)
Histoire ( 30 lignes minimum ):
Grisom Resyl est né sur une ile de Noth Blue du même nom, Resyl. Cette ile, bien qu'étant hospitalière, est sujette à un climat très rigoureux, les étés sont brefs et torrides et les hivers longs et glacials. C'est dans cette ile que Grisom est né, et son existence aurait pu être heureuse et remplie de joie mais le sort en décida autrement.
Ses parents, Jack et Betty, étaient de simples agriculteurs qui travaillaient de leur mieux leur lopin de terre, à quelques kilomètres de Resylbourg, le seul village de l'ile, la vie était dure mais ils étaient heureux car leur enfant n'allait pas tarder à naître. Quelques semaines avant la naissance de leur enfant un bateau de la Marine accosta à Resylbourg et tous les habitants furent appelés sur la place, les Marines recherchaient toutes les femmes sur le point d'accoucher afin de, prétendaient-ils, effectuer un recensement des naissances à venir. Le père de Grisom, ayant laissé sa femme à la maison, repartit chez lui afin de l'amener avec sa carriole car elle était incapable de marcher. Alors qu'ils redescendaient tous les deux des cris d'horreur se firent entendre venant du village, Jack courut voir ce qui se passait pendant que sa femme l'attendait, à mi-chemin du village. Celle-ci, pour calmer son angoisse qu'elle sentait croître et pour calmer les coups de pieds de son bébé, se mit à chanter. Elle commençait à se sentir mieux quand son mari arriva en courant comme si des monstres étaient à ses trousses, il lui expliqua, paniqué, que les marines tuaient toutes les femmes qui étaient sur le point d'accoucher afin d'éliminer toute possible progéniture de Gol D. Roger. Sans lui laisser le temps de protester il fît grimper Betty sur le cheval et le détachât de la carriole, à cet instant un bataillon de marines apparût et commençât à faire feu. Comprenant les intentions de son mari elle voulût descendre de l’animal mais celui-ci, effrayé par les coups de feu et motivé par la grande claque qu’il venait de recevoir sur l’arrière train, se lançât au grand galop en direction des monts enneigés. Les Marines s’élancèrent à sa poursuite mais Jack leur fonça dessus avec la carriole, geste courageux qui permit à Betty de s’enfuir avec son enfant, mais qui lui coutât très cher car les Marines sont de bons tireurs. Betty, ayant vu la fin de son mari, poussa le cheval en retenant ses larmes, le temps n’était pas au désespoir, il fallait qu’elle sauve son enfant coûte que coûte, elle disparut dans le blizzard qui s’abattait sur les monts.
Une dizaine d’années plus tard, quand un jeune garçon arriva à Resylbourg personne ne fit le rapprochement avec le couple qui avait disparut lors de la rafle de la Marine et si quelqu’un le fit il n’en dit mot. Le petit n’ayant pas de nom et ne sachant pas d’où il venait on le nommât Grisom, à cause de ses yeux et ses cheveux gris, et on le confiât au forgeron du village qui en fît son apprenti. C’était un enfant sociable et joyeux qui se lia facilement avec les gens du village et bien qu’en apparence il sembla heureux et épanoui, au plus profond de lui son cœur était plein de tristesse.
Car peu de temps après que sa mère eût échappé aux soldats de la Marine, l’heure de son arrivée dans le vaste monde avait sonné. Elle lui donna naissance au plus profond d’une grotte avec pour seule assistance un feu de bois qui les protégeait du froid hivernal, l’opération se passa étonnamment bien et ils survécurent tous les deux. Pour des raisons évidentes Betty interdit à son fils de s’approcher du village et ils survécurent tant bien que mal pendant presque 10 ans. Mais au cours d’un hiver plus rigoureux que les autres Betty tomba malade et le mal mit fin à ses souffrances en à peine 3 jours, laissant derrière elle un fils anonyme car elle n’avait pu se résoudre à le nommer, lui qui avait causé la perte de son mari tant aimé. La rancœur qu’elle éprouvait ne s’était manifesté que sous cette forme, pour le reste elle avait fait son possible pour l’aimer, ou en tout cas ne pas lui en vouloir, elle l’avait éduqué, appris à s’exprimer, à se débrouiller dans la nature et lui avait raconté la vérité sur sa naissance dés qu’il fut en âge de comprendre.
Grisom grandit donc au coté du forgeron qui lui apprit son art du mieux qu’il pouvait espérant que l’enfant reprendrait l’affaire après lui, mais bien qu’attentif à tout ce qu’il lui disait il profitait de la moindre inattention pour s’éclipser et partir vagabonder dans la forêt. Lorsqu’il eu 22 ans Grisom décida qu’il était temps de partir de Resyl pour accomplir la tache qu’il s’était fixé à la mort de sa mère, parcourir le monde pour comprendre les évènements qui avaient amenés à la mort de son père, car ce qui s’était passé sur l’ile ne constituait qu’une infime partie d’un problème dont la complexité lui échappait pour le moment mais qu’il était déterminé à résoudre. Pour ce faire il avait attendu d’avoir en sa possession toutes les informations et toutes les capacités qui lui seraient nécessaires afin de remplir son objectif. Il était prêt, et la première étape de son voyage serait de trouver une place dans un équipage de pirates.
Test RP: Attendre le feu vert d'un admin

Ton niveau est très bien ^^ tes phrases claires et sans trop de fautes !

Essaye de préciser un peu plus ton personnage dans les descriptions physique et mentale, comme il est inventé il faut qu'on le connaisse autant que toi après t'avoir lu.

Sinon tu peux faire ton post ^^

Compris, je vais y travailler.

Bon amusement

Caractéristiques physiques et mentales éditées, il y aura d'autres informations dans le test rp qui va venir sans pour autant tout dévoiler.

Entre nous... Sur ta fiche de présentation tu peux tout dévoiler ce n'est pas un problème ^^ en attendant tu peux commencer ton post rp sans soucis !

Et voilà le test RP:

« Haaaaaa ! Enfin finit. » dit-il en déposant le lourd marteau sur l’enclume, il rangea ensuite les fers à cheval dans un coin de l’atelier et sortit en direction des latrines.
Cela faisait 2h maintenant que tout le monde était parti se coucher et il venait juste de terminer le travail que Bob lui avait demandé de faire, tout ça pour pouvoir travailler encore une paire d’heures sans éveiller les soupçons car si Bob savait ce qu’il fabriquait quand il avait le dos tourné il n’aurait plus jamais l’occasion de se prêter à ses petites « expériences ».

*Si jamais Bob tombe là-dessus je ne pourrais plus jamais m’approcher de la forge. Mais bon, qui s’amuserait à fouiller à proximité d’un tas de merde pareil ? Surement pas lui, et encore moins Elisa ou le petit Nico, quoique je l’ai déjà vu fureter une ou deux fois dans le coin ces derniers temps, je devrais penser à une autre cachette peut-être… Le vieux chêne ? Non, Elisa y va régulièrement pour pendre son linge ou rêvasser sous ses branches. La grange du père Soli ? Trop loin, je ne vais pas traverser tout le village 2 fois par nuit, j’ai déjà assez de mal à ne pas attirer l’attention. Et le coude de la rivière ? C’est assez proche, envahit de hautes herbes et marécageux. Oui, j’irai tout mettre là-bas ce soir après avoir travaillé dessus, de toute façon c’est bientôt terminé.*

Ainsi pensait Grisom en remuant la terre à quelques mètres des latrines, et perdu dans ses pensées il n’entendit pas les bruits de pas qui venaient dans sa direction, il ne prit conscience de la présence de quelqu’un d’autre que lorsqu’on l’interpella.

« C’est ceci que tu cherches imbécile ?! »

Grisom se retourna d’un bloc et se figea. Devant lui se tenait un colosse fort comme quatre, à la barbe large et sombre, dont les yeux lançaient des éclairs et les jointures des battoirs qu’on avait du mal à appeler mains craquaient sinistrement donnant pour la suite des évènements une ambiance de très mauvaise augure.

*Aïe ! Bob ! Qu’est-ce que je vais lui raconter ? Que j’ai perdu un outil ? Oui c’est ça, je vais lui dire que j’ai égaré une pince quand… Oh non !*

Il venait d’apercevoir ce que le forgeron tenait dans sa main droite, un sac de toile grossier qui contenait, sans l'ombre d'un doute les trésors que Grisom tentait de cacher depuis quelques temps. Il jeta un bref coup d’œil à son maitre.

*Il se contient difficilement et un rien peut le faire exploser. Inutile de demander pardon, je ne l’obtiendrai jamais, le mieux que je puisse faire c’est récupérer mes biens. *
Grisom se releva et toisa le forgeron bien qu’il soit plus petit d’au moins 2 têtes.

« Oui, c’est outils sont à moi »

*Zut, je n’aurais pas du…*

« Ces outils ?! Ce sont des ARMES pauvre imbécile ! »cria le colosse. « Des armes tout ce qu’il y a de plus dangereuses, des armes qui causent la mort et la souffrance, des armes qui enlèvent les femmes et les enfants, des armes qui avilissent les hommes les rendant inférieurs aux animaux, des armes qui sont la cause de tous les malheurs sur les océans ! »

Il reprit son souffle tandis que Grisom, choqué par sa haine sans pour autant être surpris de ses propos, tenta de plaider sa cause.

« Ce n’est pas pour infliger des douleurs que je les ai fabriquées, je veux juste… »

« Silence ! Je ne veux pas savoir pourquoi tu l’as fait, c’est trop tard. Quand je t’ai accepté comme apprenti j’ai été très clair, je te révèlerais tout mon savoir tant que celui-ci serait employé à aider ton prochain, je ne t’ai pas appris à fabriquer d’armes et encore moins à les utiliser. Pourtant j’ai souvent remarqué que ce que je t’enseignais ne suffisait pas, tu étais trop avide de connaissances, comme si tu cherchais à combler un vide que je n’étais pas capable de remplir. Ces derniers temps tu as été encore plus bizarre que d’habitude, tu disparaissais pendant des heures entières, et les bruits que venant de la forge n’étaient pas ceux d’ordinaire. Je n’ai eu la réponse à mes interrogations qu’il y a quelques heures quand j’ai vu Nicolas fouillé ici même, et quand j’ai découvert ces armes j’ai failli venir te réduire en bouillie et … »

Grisom ne l’écoutait déjà plus.

*Bon, ça se déroule autrement que prévu mais de toute façon je n’allais plus m’éterniser ici, dans une semaine ou deux maximum j’aurais largué les voiles. Je vais juste devoir accélérer mon départ, le père Soli est déjà d’accord pour me vendre sa barque et j’ai fais assez de réserve pour au moins un mois de traversée, je maitrise correctement mes armes et le temps est idéal pour prendre la mer. Dés l’aube j’irai voir le père Soli et je partirai d’ici pour un bon moment sans aucun doutes.*

«…c’est pourquoi j’ai décidé de te renvoyer, tu as rompu le contrat qui nous unissait, tu n’es plus mon apprenti, tu n’es plus rien. Prends tes affaires et fous-moi le camp d’ici ! »

Bob s’attendait à ce que le garçon le supplie de revenir sur sa décision, de le laisser réintégrer son poste, qu’il promette de ne plus fabriquer aucune arme et qu’il s’excuse de tout son cœur, mais il n’était pas préparé à ce que Grisom lui dit.

« D’accord je m’en vais, de toute façon je n’allais pas tarder à partir. Merci pour ce que tu m’as enseigné Bob, j’ai passé de bons moments avec toi et même si nos chemins diffèrent aujourd’hui nous nous reverrons peut-être, bien que j’en doute fort. Je vais ramasser mes affaires et partir, dis au revoir à Elisa et Nico pour moi. »

Grisom passa à coté du colosse qui restait stupéfait devant les déclarations du garçon qu’il croyait si bien connaître, il ne réagit pas non plus lorsque celui-ci lui prit délicatement le sac en toile de sa main, il ne cilla pas lorsqu’il l’entendit ramasser ses bagages et ses biens, et c’est à peine si sa respiration changea lorsqu’il le vit partir en direction du port. Aussi Grisom ne l’entendit pas lorsqu’il répondit, un sanglot dans la voix, à la nuit qui déjà s’éclaircissait.

« Bon voyage mon garçon, puisse le vent te porter là où tu le désires et le soleil être un baume à la blessure que tu portes en toi. Je n'ai pas réussis à te guérir et c'est malheureux, car la route qui se dresse devant toi est semée d'embûches que tu n'imagines même pas.»

Assis au pied d’un grand bouleau, regardant le jour qui commençait à poindre, Grisom attendait calmement le chant du coq.

*Dés qu’il aura chanté je pourrais aller chez Soli sans risquer de me faire trouer la peau, il est peut-être âgé mais il n’empêche qu’il vise juste le bougre et malheur à celui qui essaye de le surprendre*

Un grand sourire apparut sur le visage du jeune homme, des souvenirs qu’il croyait pourtant oubliés venaient de resurgir. Il y a deux ans, après une soirée passée chez le Père Soli à écouter des histoires fantastiques sur Grand Line et le Nouveau-Monde racontées par le vieil homme qui avait longtemps voyagé avant de revenir s’installer sur son ile natale, il s’était introduit dans sa grange espérant y trouver un trésor ou un autre objet qui aurait attesté de la véracité de ses propos. Il n’avait eu la vie que grâce à la lune qui avait permi au Père Soli de le reconnaître, ne l’empêchant pourtant pas de tirer près de lui pour faire déguerpir le garnement, depuis cet incident Grisom voyait le vieux fou sous un jour tout à fait différent.

*La raclée que Tom m’a donnée ce jour-là, je n’ai plus su m’asseoir trois jours durant. Hé ! D’où vient ce bruit ?*

« Qui est là ? C’est toi Bob ? Ca ne sert à rien je ne reviendrai pas chez toi, j’ai décidé de... ! »

Ce n’était pas Bob qui venait de sortir des fourrés, faisant juste assez de bruit pour que Grisom le remarque, mais un loup gris comme les cendres, à l’œil ardent et rusé, dont les crocs jaunes imposaient le respect et qui avait sans aucun doute prévu de faire un festin sous peu.

*C’est la fin de l’hiver, il ne doit pas avoir mangé à sa faim depuis bien longtemps, je dois vraiment avoir l’air délicieux pour lui. Inutile d’espérer m’enfuir, je n’ai jamais été bon coureur et ce n’est pas dans l’obscurité que j’arriverais à semer un loup. Je vais devoir combattre.*

Son sac en toile était juste à ses pieds, si proche et pourtant impossible à saisir si le loup passait à l’attaque. Grisom se baissa doucement en tendant la main vers sa seule chance de salut.

« Tout doux. Voilà, ne t’énerve pas, je ne vais pas m’enfuir ne t’inquiète pas. Tu vas pouvoir te régaler avec moi, laisses-moi juste me baisser un peu plus… »

Alors qu’il n’était plus qu’à quelques centimètres du sac, le loup bondit vers lui, mais ses crocs se refermèrent sur du vide, son repas s’étant jeté en avant, passant sous le loup et ramassant son sac au passage. Grisom se tenait maintenant fermement sur ses deux jambes avec dans chaque main une masse en fer qu’il avait mis longtemps à façonner dans le plus grand secret. Elles étaient tout à fait identiques, le manche en fer forgé mesurait quinze centimètres de long et était parfaitement adapté à sa main, le corps du marteau pesait plus ou moins sept kilos et faisait une vingtaine de centimètres de long, les deux marteaux étaient fait d’une seule pièce, il avait soudé le manche au bloc de fer ce qui avait été le plus ardu, mais maintenant elles étaient prêtes.

« Tu peux venir je ne te crains plus, tu n’as aucune chance contre moi maintenant que j’ai mes masses, tu vas comprendre pourquoi on m’appelle Swift Hammers. »

*Mais pourquoi est-ce que je parle à un loup moi ? J’ai vraiment besoin de dormir, dés que je l’aurai chassé j’irai dormir un peu. Enfin en espérant que je vais le battre, j’ai beau faire le fier je ne me suis jamais battu que contre des arbres et des poutres…*

C’est sur cette pensée encourageante que le loup s’élança. Bien qu’il ne se soit entrainé que sur des objets inanimés Grisom n’en avait pas pour autant négligé son entrainement, et son travail à la forge l’aidat aussi dans ce sens. Au moment où le loup allait lui mordre la jambe il abattit sa main droite d’un coup sec et puissant, comme si il battait le fer qui venait de sortir du feu, et le bruit qui fit le crane de la bête lui aurait retourné l’estomac si il n’avait été autant concentré sur son mouvement. Reprenant une position défensive, il se prépara à un deuxième assaut qui ne vint pas. Le loup était étendu au sol et ne bougeait plus. Grisom, ne voulant pas attendre de savoir si il était juste évanouit, ramassa ses affaires et fila en direction de la maison du Père Soli.

Vu le flou que tu laisses sur la fin de ton rp et la fin de ton histoire, tu commenceras par jouer ton arrivée chez le père Soli qui te donnera ta formation

Pour ce faire il avait attendu d’avoir en sa possession toutes les informations et toutes les capacités qui lui seraient nécessaires afin de remplir son objectif. Il était prêt, et la première étape de son voyage serait de trouver une place dans un équipage de pirates.

sinon je demande ta validation en niveau3, tu commenceras sur ton île évidemment ^^

Attend la validation d'un autre MJ pour confirmer (et du serviteur si il passe pas ici) et ça devrait être bon, tu as un perso simple et vu ton niveau vous pourriez bien évoluer remarquablement ensemble !

Merci.

Sinon pour le père Soli, je pensais juste à l'achat de sa barque mais c'est vrai qu'il peut avoir un passé chargé et donner quelques trucs à un novice.

Bon courage pour ma suite.

Après m'être relu à tête reposée, je me suis rendu compte que ma description psychologique ne rendait pas bien l'idée du personnage que j'avais en tête, je l'ai donc entièrement retravaillée.

Pas besoin de la re-lire Trésor, faire une seule lecture doit déjà être assez fatiguant ^^

Après revalorisation de ta fiche, tu passes au niveau 4, Grisom ^^

Liste des méfaits

-Vol d'un bateau

-Attaque et éradication d'un équipage de chasseurs de primes, Les Traqueurs

-Destruction du bateau cu Capitaine Babyface