Cymor Illia [Validé]

~°Pirates°~

~°Présentation du Joueur°~

Prénom: Guillaume, mais vous pouvez m'appelez Gui ça ne me gêne en aucun point.
Age: 19 ans
Ce que vous aimez: La musique, les animes, etc
Ce que vous n'aimez pas: Pas grand chose
Première Impression: J'aime beaucoup le design.
Autres: Le Kobudo, ça poutre!
Comment avez vous connu ce forum?: Brask Roc m'en a fait l'éloge et j'ai foncé.

~°Présentation du Personnage°~

Nom: Illia
Prénom: Cymor
Surnom: Ripper
Age: 22 ans
Sexe: Homme
Est-il existant ou inventé?: Inventé

Description Psychologique (5 lignes minimum):
Ce jeune homme semble stressé et paranoïaque, et il l'est ! Tout dans son attitude le montre. Il ne peut s'empêcher de jouer avec ses doigts, il ne tient pas en place et son regard est attiré par tout ce qui bouge ou qui fait du bruit. Il enregistre les moindre détails de l'endroit où il se trouve: armes utilisables, sorties possibles, etc. Cymor a cependant trouvé une solution à son problème; la cigarette. Effectivement, c'est bien connu, la nicotine aide à calmer les nerfs en pelote. Gare à celui qui lui grillera sa dernière cigarette. En effet, sans sa dose de nicotine, le stress accumulé explose de manière... Violente, incontrôlée, et malsaine. Malgré ce problème, lors de conversations, Cymor sait se montrer attentif et courtois. Son sens de l'humour est parfois incompris et il se retrouve seul à se tordre de rire sur le sol. Depuis sa tendre enfance, la musique l'a bercé, jusqu'à le rendre fou (trop de musique, tue la musique), cependant il ne peut se détacher de son addiction pour les sons tirés de son violon.

Description Physique (5 lignes minimum):
Il arbore des cheveux mi-longs, blancs avec des reflets gris. Son regard vert, sérieux et froid n'est jamais immobile. Où qu'il se trouve, il a toujours une cigarette au coin de la bouche, sauf si les finances l'empêchent d'en acheter un paquet, ou qu'il se trouve au milieu d'une rixe (gare à vos fesses). Il est de taille moyenne et sa peau est de couleur blanche. Sa démarche et ses mouvement sont souples, toujours prêt à esquiver les coups qu'il appréhende. Il porte de multiples chaînes et bijoux sur lui et il s'habille essentiellement en noir, sa couleur préférée. Un autre petit détail qu'il n'expose pas souvent au grand jour: un tatouage de dragon sur son bras droit.

Pouvoir/capacité:
Capable de jouer de n'importe quel instrument, il joue le plus souvent sur son violon, son instrument de prédilection. Il manie très bien la lame qu'il tire du manche de son violon et, pour raison pratique, il sait parfaitement faire des cordes en boyaux divers et variés... Et oui tirer sur le manche d'un violon casse les cordes.

Grade: à voir
Nom de l'équipage: à voir autant qu'à en discuter
Fonction au sein de l'équipage: Musicien

Histoire (30 lignes minimum):
C'est sur une île de South Blue, un soir d'hiver, dans une famille de musiciens, les Cellos, qu'est né Cymor. Dès le début, son destin de faiseur de musique était tracé. Son enfance se déroula sans accroches. Les babillages d'enfants cédèrent la place à une cacophonie de sons sans intérêts que le bambin appelait « comptines pour baveux en si mineur ». Le vocabulaire musical qu'il utilisait était déjà très développé pour son âge. Ses parents décidèrent rapidement de l'inscrire dans une école de musique réputée. Ainsi son enfance se passa sur les bancs d'école à apprendre les termes techniques musicaux.

C'est durant l'adolescence que les choses commencèrent à se gâter. Les jeunes de son école étaient tous des fils de riches, bien coiffés, bien habillés, tous plus hautains les uns que les autres. Cymor, lui, avait tourné vers le côté rebelle. Cheveux longs et habits noirs, il n'était pas décidé à se fondre dans le milieu de son école. Ses « camarades » de classes lui faisaient des brimades, croche-pieds et pied de nez étaient son quotidien. Pendant un bon moment il laissa passer, jusqu'au jour où, après une énième humiliation, ses tortionnaires le suivirent dans une petite ruelle et se mirent à le pousser contre les murs. Le contact engendra un déclic dans l'attitude de Cymor. Il rossa ses bourreaux et les abandonna dans la ruelle où la rixe avait commencé. Son regard avait changé. Les années d'oppression de la part de ses « camarades », de ses professeurs pour s'appliquer sur son instrument, et de ses parents qui le forçaient à travailler et à maitriser son violon à la perfection, entamèrent le mental fragile de l'adolescent. C'est pendant cette période qu'il découvrit les bienfaits de la cigarette, produit grâce auquel il pouvait fuir ce monde qui ne lui offrait aucune liberté.

Quelques années pus tard, Cymor allait naître à nouveau. Rentrant trop tard à la maison, ses parents commencèrent à l'engueuler. N'ayant pas de cigarette sous la main (la dernière ayant servit à le mettre en retard) il sentit la colère monter en lui. Ses mains commencèrent à s'agiter, ses yeux cherchaient des objets de mort. Il n'entendait plus ses parents, il ne les entendra plus jamais. Plongé dans un état second, il saisit un objet au hasard dans la pièce (une chaise) et la fracassa sur la tête de son père, puis il sortit une corde, qu'il avait cassé plus tôt, et étrangla sa mère, qui ne put rien faire devant la rapidité d'action de son fils. Étant sorti de son état de transe, il fixa les cadavres d'un regard froid et vide de sentiment. Il décida de mettre le feu à sa maison et de s'enfuir dans la nature. Les habitants de son village natal, alertés par le crépitement des flammes, affluèrent vers le domicile des Cellos. Ils ne trouvèrent pas de traces de Cymor. Tout de suite, ils le soupçonnèrent de l'homicide de ses parents et la Marine se mit en quête de l'arrêter.

De son côté, Cymor renaissait sous le nom d'Illia, laissant de ce fait sa vie passée derrière lui. Le seul objet le reliant avec son passé était son violon dont il ne pouvait se séparer. Son regard, autrefois vivant, ne fut plus que froideur. Poursuivit par la Marine, il lui fallait une arme. Il avait une idée en tête pour s'en procurer une... Mais cette idée n'était pas facile à mettre en œuvre. En effet, il lui fallait trouver un forgeron et vu son statuts de fugitif, ça n'allait pas être du gâteau. Il se dirigea vers la ville la plus proche et, vêtu d'une cape à capuchon, il se dirigea par les petites ruelles, tout en évitant les groupes de Marines qu'il voyait. Après bon nombre de détours et de planques, il vit enfin l'enseigne du forgeron. Entré dans l'échoppe, il se dirigea vers le maître forgeron, et avec une rapidité fulgurante il saisit une lame au hasard, passa derrière lui et lui plaça la lame sous la gorge. Il ordonna au pauvre artisan de fermer boutique et d'obscurcir les fenêtres. Cela fait, il sortit son violon et exposa son vœu: une lame intégrée dans le manche. Apeuré, le forgeron accepta sa demande et ils passèrent dans l'atelier. Le forgeron se mit à l'ouvrage. Il scia le manche du violon. Suite à ce geste qui failli le faire sortir de ses gonds, Cymor demanda, comme si c'était tout à fait normal, à l'artisan s'il avait une cigarette. Il lui en tendit une, tremblant comme une feuille. Tirant une bouffée de fumée, il sentit la colère le quitter. Il se mit à parler avec son otage, le complimentant sur son art et sur le travail qu'il fournissait sur son violon. Le maître lui ne savait pas comment réagir à ce changement de caractère. Imaginez, un homme vous menace, une leur de folie dans le regard. Il fume et là, il vous parle d'un ton calme, posé et poli mais toujours cette lueur meurtrière qui vous glace le sang. Monsieur Blacksmith, le nom donné par le forgeron, décida de ne pas contrarier son bourreau et continua la conversation et le travail.

Après des jours de travaux acharnés, la dague-violon fut enfin terminée. Cymor remercia l'artisan, sortit de l'échoppe et se fondit dans la foule. En sortant de la ville, il remarqua qu'il était suivit. Il s'enfonça dans la forêt adjacente, accéléra le pas et se cacha dans un buisson. Il garda le silence le plus complet. Sa cigarette venait d'expirer. Bruit de cordes qui cassent, bruit de la lame qu'on tire du fourreau, bruit de pas pressés, sang qui jaillit, silence de mort. Cymor contempla les cadavres. Quatre hommes, qu'il jugea être des brigands, qui portaient le nombre de ses victimes à six. Il rit intérieurement de la référence à son prénom. Il quitta les lieux et se dirigea vers la petite ville de Stenton où il savait qu'il s'y trouvait un port désinfecté. Il lui fallait quitter son île natale pour oublier sa vie passée et éviter de se faire attraper par la Marine comme un débutant. Pour cela il lui fallait un bateau. Il décida de ne pas passer par l'entrée principale de la ville. Il passa aux abords de la cité, arriva vers le rivage de l'océan, plongea et nagea jusqu'au port. Sitôt arrivé, il inspecta les lieux et trouva une barque en piteux état. Il se mit à la réparer du mieux qu'il pouvait. Le travail fait, il embarqua sur sa modeste embarcation et pris le large. Sa destination: où son sens de l'orientation plus que douteux le mènerait.

J'me permets un petit conseil même si je n'ai pas encore lu. Aère tout ça, saute des lignes, met du gras, des couleurs... Parce que là ça donne pas envie. ^^'

Salut !

Un petit conseil, finis ton histoire, ce qui ce passe après la mort de tes parents, etc...

J'ai pas encore fini mon histoire je te rassure... Devrais-je le préciser en fin de message?

Non nul besoin, je viens de changer le titre de ton topic. Il ne faudra pas y retoucher en suite s'il te plait, signale nous juste quand ton Histoire sera terminée.

Bon dieu, encore un musicos ...

On a perdu le musicien ?

Non non je suis là. Je ne pourrai malheureusement pas continuer ma présentation pour le moment pour cause de session d'examen à l'uni (et oui les études ça occupe...). J'essayerai de la finir le plus vite possible, et le tout sans bâcler.

Ok tant mieux ta présentation et ton histoire sont pour le moment bien fun ça aurait été dommage de perdre une recrue comme toi

Et bonne chance pour les exams ^^

Bon courage pour la fin de l'année scolaire et préviens nous dès que tu continueras ta fiche !

Bonsoir, juste un petit message pour vous dire que ma présentation est terminée. Voili voilou.

Bonne soirée, bonne lecture, le monde vous adore, il fait beau, les roses sont rouges et le ciel est vert (le nucléaire c'est moche).

YEEEEAAAAAH YEEEEAAAAH

Bonsoir bonsoir ^^

Bienvenue parmi nous !

Que dire ? J'ai particulièrement aimé ta fiche : simple, sans trop de faute, originale sans abus et pas trop longue ^^

Tu as le feu vert pour ton, j'ai hâte de voir comment tu vas nous interpréter ce stressé nicotineux !

En avant pour le test RP. Depuis le temps que le Brask nous parle de toi, j'espère que t'assures Cymor.

Allé, fais toi plaisir l'ami, on piaffe d'impatience !

Merci bien ^^ Je ferai de mon mieux et ça va poutrer sévère!!

Test RP:

Cymor
*Pensées de Cymor*
Nelson
Les *** sont interactives.

Le soleil se levait sur la savane lorsque Mufasa et Simba sortirent de leur tanière... AH MERDE... C'est pas la bonne histoire... Bon on recommence. Cessez donc de regarder cette vidéo O_O.

Cymor attendait dans un couloir de son école. Devant lui se trouvait une porte sur laquelle se trouvait un écriteau citant: « Bureau du principal Nelson ». L'attente commençait à taper sur les nerfs du jeune homme.

*Pourquoi suis-je le seul à être convoqué? Pourquoi ceux qui m'ont attaqué dans la rue ne sont pas là? Ah oui... C'est vrai. Je suis le seul à ne pas avoir fini à l'hôpital.*

Un sourire malsain naquit sur le visage de l'adolescent. Sourire qui se dissipa suite au bruit de la porte qui s'ouvrit. La silhouette du principal Nelson se dessina dans l'encadrement de la porte. Il invita Cymor à entrer et à s'installer sur la chaise devant son pupitre. Cymor observa le principal. Un homme d'une cinquantaine d'année, cheveux blanc (comme les siens remarqua-t-il avec « humour »), une paire de lunettes qu'il portait tout au bout du nez et un air sérieux qu'il ne portait pas d'habitude. Cymor allait passer un mauvais quart d'heure.

-Vous savez pourquoi vous êtes ici. N'est-ce pas monsieur Cello?
*Comment pourrais-je commencer cette symphonie?*
-Euh... Pour parler de ma... Prise de bec avec mes camarades l'autre soir?
-C'est exact Cymor. J'aimerais comprendre ce qui s'est passé ce soir là. Qu'est ce qui vous a pris de, je m'excuse du terme, tabasser vos camarades de la sorte? N'avez-vous pas pensé à appeler des secours? Ils étaient dans un état grave ne l'avez-vous pas vu?
*Ce sont eux qui m'ont attaqué espèce de vieux croulant. Je n'ai fait que me défendre et leur ai fait payer les brimades qu'ils m'ont fait subir.*

Cymor n'écoutais plus le principal lui tenir ces inepties. Il se foutait totalement de son sermon.

-Je... Ce sont eux qui... Ils ont... Me défendre... Vous pouvez répéter la question?
-Ne me prenez pas pour un imbécile Cello, vous avez très bien entendu.
*Mais ferme la vieux con!*
-Je vais vous faire renvoyer de cette école si vous continuez ainsi.
*Tu vas la fermer ou je te la ferme!*
-Vous ne serez jamais un musicien.

Cymor sentit la colère monter en lui. Il repéra une paire de ciseaux sur le pupitre. Il visionna la courbe parfaite dont il aurait besoin pour l'enfoncer dans la gorge du « blaireau à lunettes ». Il secoua la tête pour penser à autre chose. En regardant devant lui, il vit la fenêtre derrière Mr. Nelson. Comme il serait facile de le défenestrer ce vieux débris et de...

*Penses à autre chose!*

Nouveau mouvement de tête, nouvelle « arme » qu'il pouvait utiliser pour se débarrasser du « cher » principal de l'école de musique. Cymor était entouré d'armes notoires pour mettre un terme à l'ennui mortel qu'il éprouvait en entendant ce monologue.

-Monsieur Cello vous m'écoutez?
*Non monsieur je suis trop occupé à chercher un moyen de vous tuer.*
-Non monsieur je suis désolé j'ai la tête ailleurs. Dit-il dans un état second.
-Ne croyez-vous pas que c'est le moment de revenir sur terre? Ce dont nous parlons est important vous savez? Vous avez presque tué vos camarades.
*Et alors? Ce ne sont que des incapables, des gosses de riche pourris gâtés, ils ne valent rien à mes yeux.*
-Oui monsieur, je sais, c'est moi qui ai commis cet acte. Vous n'avez en aucun cas besoin de me dire dans quel état j'ai laissé mes « si charmants et aimants » camarades de classe.

Le principal Nelson tressaillit devant le ton de son élève. Comment pouvait-il dire ça avec un tel calme. Quelque chose avait changé dans le regard de Cymor. Autrefois vivant, il était maintenant froid et vide de sentiment. Nelson eu soudain conscience qu'il avait peur de Cymor.

-Euh... Bien Cymor. Demain j'écrirai une lettre à la commission pour expliquer votre cas. Les parents des victimes vous trainent devant le tribunal des mineurs pour coups et blessures. Je pense que je n'ai nul besoin de vous dire que vous n'êtes plus élève dans notre établissement. Vous pouvez partir.
Cymor se leva, approcha son visage, orné d'un sourire à vous glacer le sang, de celui du principal. Il le fixa dans les yeux, pris la paire de ciseaux, la passa devant la gorge de Nelson et... La rangea dans le pot à crayons sur le pupitre.

-Votre école ne m'intéresse plus. La musique ne s'étudie pas. Elle se vit, elle se découvre chaque jour un peu plus. Je n'ai pas besoin de l'enseignement de vos larbins. Oh et à propos, vos si précieux étudiants que vous défendez, si c'était à refaire, je les rosserais encore une fois, toujours avec le même plaisir.

Nelson, pâle comme la mort, s'enfonça dans son fauteuil. Jamais il n'avait eu aussi peur de quelqu'un. Cymor sortit du bureau, traversa lentement les étages de l'école, toujours son sourire malsain sur le visage. En sortant du bâtiment, l'air frais apaisa sa colère. Néanmoins, elle était toujours là, tapie à l'intérieur de son être. Dans un état de rébellion profonde contre tout ce qu'il connaissait, Cymor acheta un paquet de cigarettes. Il en fuma une et, instantanément, la fureur le quitta.
C'est ainsi que Cymor continua de fumer pour réprimer la colère qu'il avait en lui. Il n'imaginait pourtant pas que ce qu'il considérait comme bénéfique pour sa santé mentale était en fait la chose la plus dangereuse qui pouvait exister. La colère trop contenue, lorsque le barrage cède, rien ne peut l'arrêter de s'écouler et d'emporter tout ce qui se trouve sur son passage.

Voilà, Test RP terminé. J'ai corrigé le gros de l'orthographe et rajouté deux trois petit liens video/audio. Bonne lecture

Le musicien prodige a enfin fini sa fiche et cela me remplit d'aise.

Nous avons donc là une fiche de bonne facture, courte sans pour autant être insuffisante, on y trouve tout ce qu'il faut.

Une grosse critique : ton test RP. On est à des années lumières de l'univers de One Piece, il n'y a aucun rapport entre ce récit et l'univers de Oda-sama. Cependant, vu qu'il met bien en avant le caractère de Cymor et qu'il nous permet de voir comment tu l'interpreteras (ce qui est l'intérêt principal du test RP) je passe l'éponge.

Nous avons donc ici un personnage haut en couleur, accro à la nicotine et aux meurtres, ce musicien me semble donc fort sympathique.

Alors, l'évaluation :

Une orthographe impeccable, un style plus que correct (malgré un problème au niveau de la ponctuation, tu peines à donner du rythme à ton texte, trop de petites phrases). Ce sont là les prémices d'un bon personnage.

Un coté One Piece très prononcé dans la description du personnage mais beaucoup moins dans le test RP. Il va falloir faire attention à ça une fois en jeu Cymor !

Je passe sur les détails barbant de l'évaluation MJesque pour te donner directement le verdict chiffré :

niveau 5 ou 6. Je laisse le Men In Black suivant décider.

En espérant que tu te montres plus actif une fois validé que tu ne l'as été durant ta phase d'inscription, je te souhaite un bon jeu.

PS: un grand merci pour les thèmes des personnages de Reborn.